Comme dans un Indiana Jones, on commence sur les chapeaux de roues pour prendre l'aventure en route. Le trait faussement naïf de Malassagne m'a scotché par son dynamisme, son sens du mouvement et du découpage. Son encrage à la Miyazaki avec ses quelques nuances de couleurs vives suffisent à poser les atmosphères. La lecture est totalement fluide.
Pour l'histoire, on a un one shot rafraîchissant, limpide, qui ne réinvente pas la pluie mais assez singulier pour que l'on s'en souvienne. On ne décroche pas jusqu'au bout.