JUSTICE LEAGUE #46
Scénario : Geoff Johns Dessin : Francis Manapul Couleurs : Francis Manapul
Darkseid est mort ! Ce n’est pas pour autant que tout va mieux maintenant sur Terre.
Bien au contraire, entre l’Anti-Monitor et ses ambitions secrètes, les proches de Darkseid réclamant vengeance et certains des membres de la Justice League qui ont été déifié, rien ne tourne plus normalement sur cette planète. D’autant que les pouvoirs divins sont, clairement, montés à la tête de certains !
Aussi lorsque Steve Trevor, poussé par l’aspect apocalyptique du moment, tente une approche avec Diana, cela va vite se retourner contre lui. D’autres, encore, doivent maintenant conjuguer avec des dualités internes.
Malheureusement, si c’est toujours aussi joli (Francis Manapul oblige), si le contexte est toujours aussi sympa, il ne se passe absolument rien !!
Bref, un épisode qui n’est fait que de vent…
JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #6
Scénario et dessin : Bryan Hitch Couleurs : Alex Sinclair
Il fallait s’en douter, Rao n’est pas aussi bon et généreux qu’il n’y paraît. Comme à chaque fois qu’il est question de religion, cela fini dans les ruines, le sang, le chaos et la mort !
Atlantis attaquée de toutes parts, l’Olympe n’est plus qu’un tas de cendre, les humains sont transformés en moutons, et les quelques membres de la Ligue encore disponible sont confrontés aux hordes de Rao, bien plus violents qu’à leur arrivée, tandis que Superman se retrouve face à Rao lui-même.
Encore une fois, on aurait dû écouter Batman dès le début !
Pendant ce temps, Flash fait, à son tour, connaissance avec la Corporation Infinity, alors que Green Lantern continu son périple dans le passé de Krypton !
Bref, on retourne au temps du Moyen-Âge et des campagnes sauvages et barbares de conversion au christianisme. Toujours un plaisir à lire. Ce Rao est à chaque chapitre plus incroyable que dans le précédent.
FLASH #45
Scénario : Robert Venditti et Van Jensen Dessin : Brett Booth, Vicente Cifuentes et Alé Garza Couleurs : Andrew Dalhouse
Après moult et moult chapitre, le Professeur Zoom passe enfin à l’action et met enfin en marche son plan visant à discréditer Flash.
Et dès sa première tentative, en s’en prenant au commissariat de Central City, créant un dôme indestructible et hostile se nourrissant des pouvoirs de Flash, qui se trouve à l’intérieur, avec de très nombreux civiles.
Si, bien entendu, tous ne se détournent pas de Flash, le doute s’installe, et même plus que le doute pour certains, et c’est comme cela la confiance commence à s’ébranler.
Mais cette méfiance n’est pas exclusive à Flash et les habitants de Central City, puisque dans les rangs de Zoom, des dissensions commencent à grossir…
Bref, certes l’action se débloque un peu, mais le combat entre Flash et Zoom continu de n’être « qu’à travers » et non face-à-face…
GREEN ARROW #46
Scénario : Benjamin Percy Dessin : Patrick Zircher et Fabrizio Fiorentino Couleurs : Gabe Eltaeb
Alors que Green Arrow est de retour dans les rues de Seattle, il s’est fait un nouveau compagnon en George, un énorme loup, bien plus unique qu’il n’y paraît.
Et son loup se retrouve kidnappé par une étrange secte, qu’Oliver appelle les Squelettes, par rapport à leur masque, et son premier affrontement avec eux ne se passe pas vraiment très bien. Heureusement, il est sauvé, in extremis, par la ravissante et mystérieuse Catalina Flores, aka Tarentula !
Accompagné de cette nouvelle alliée (??), Green Arrow part pour une aventure empreinte mysticisme et de surnaturelle, qui va le conduire face à un ennemi qu’il sera incapable de comprendre.
Bref, ce petit voyage de Green Arrow dans le folklore mexicain n’est pas pour me déplaire. Une connotation mystique et surnaturelle assez inédite, étouffante, inquiétante et plaisante à lire.
WONDER WOMAN #46
Scénario : Meredith Finch Dessin : David Finch Couleurs : Brad Anderson
La déesse de la paix n’est pas contente qu’il n’y ait plus de guerre ! Sans guerre, pas de paix. Voilà en substance la formidable idée de Meredith Finch pour expliquer tous les récents événements qu’a traversé Wonder Woman, dont l’arrivée de ce charismatique Egée…
Bref, pouvait-on, réellement, espéré une fin moins pourrie que la saga en elle-même ? Franchement ?