L'Habitant de l'infini, syndrome du manga inconnu.
Généralement les mangas, je m'en tape l'arrête droite depuis les multiples Naruto, One Piece et Bleach ainsi que le passage vers l'âge où le sexe opposé vaut mieux que du papier.
Mais, il fût un jour par curiosité, je tombe sur ce premier tome de la saga L'Habitant de l'infini, la page de couverture est d'une classe, illustration en noir et blanc (pour le premier tome) avec un héros très stylé qui à l'air d'en avoir chié des vertes et des dures.
Le manga de Samura donne une excellente impression dès le début.
Manji samuraï immortel suite à un massacre commis par sa faute et à l'incubation d'un ver qui à la particularité de faire régénéré les cellules du porteur à un vitesse incroyable. Devenu mercenaire immortel, il s'engage à poursuivre tous les pourris de la société japonaise du temps Edo.
La technique d’utilisation d'encre traditionnel sans avoir recours à l'informatique, Samura donne un sacré style à son manga, suivant sa propre route et ayant un sens détaillé du corps humain, on se retrouve avec un habitant de l'infini sur un style plus brut que le commun des mortels.
La narration nous plonge dans une quête de la rédemption pour Manji qui se doit de supporter son fardeau et la perte de sa soeur pendant son périple qui s'annonce épique
(n'a lu que le premier tome pour l'instant).