Le fils à papa
J'avais pas super accroché à ce récit déjà étant jeune. C'est rebelote ! En effet, le scénario n'est pas terrible. On sent les auteurs ambitieux mais ils oublient de donner du corps à leurs scènes,...
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le 25 août 2017
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BD franco-belge de André Franquin, Yann Le Pennetier (Yann) (Balac) et Batem (1992)
Si vous voulez calmer des gosses pourris-gâtés, leur montrer qu'ils ont finalement une vie plutôt cool et qu'ils n'ont finalement pas tant raison de se plaindre, faites-leur lire L'or de Boavista.
Ils seront forcément enthousiastes, après tout le Marsupilami est un héros populaire drôle, punchy et encore à la mode aujourd'hui.
Et pendant que le jeune lecteur s'amusera des cabrioles de l'animal, ce dernier utilisera sa fameuse technique de l'enroulage de queue en boule et lui fracassera la nuque d'un coup soudain. Car en fait tout dans cet album est fait pour traumatiser les gosses : enlèvement d'enfants, travail forcé, destruction de la nature... et surtout la mention d'une des pires choses existantes au monde : un poisson d'Amazonie qui s'introduit dans l'urètre des garçons ayant l'imprudence de se baigner dans le fleuve (comme si les piranhas et autres anacondas ne suffisaient pas).
Après qu'il ait lu ça, si le gosse moufte encore, promettez lui un voyage à Boavista, ça le calmera.
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Créée
le 30 août 2013
Critique lue 365 fois
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