Comme la majorité des jeunes français, j’ai connu Dragon Ball le 02 mars 1988 sur TF1, dans le Club Dorothée. J’étais loin de me douter que ce dessin animé était l’adaptation d’une bande dessinée, que dis-je, d’un manga venant tout droit du Japon.
C’est en 1984 que Akira Toriyama publie le premier chapitre de Dragon Ball dans le Weekly Shônen Jump, il suivra 42 volumes (ou tomes).
Critique des tomes de Dragon Ball :
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Sangoku et ses amis sont toujours aux prises avec le Commandant Bleu. Ils sont embarqués dans une chasse au trésor rocambolesque dans une grotte sous-marine. Le Commandant Blue est pour le moment le plus gros adversaire de Sangoku, arrivant même à le battre grâce à ses techniques sournoises.
Si Sangoku et le Commandant Blue se séparent, ce n’est, à mon avis, pas la fin de leur affrontement. Je n’ai pas vu de réel vainqueur. Sangoku doit continuer son périple à la recherche des boules de cristal en affrontant l’armée du Ruban Rouge.
Le plus marquant dans ce tome, c’est le cross-over entre Dragon Ball et Dr. Slump. Sangoku arrive au village Pingouin et fait la connaissance de Aralé ainsi que des Gatchan. Les deux univers arrivent à vivre ensemble même si Aralé casse toute l’échelle de cohérence au niveau de la puissance des personnages.
Il en reste certains passages sympathiques surtout pour ceux ayant lu Dr. Slump. Pour les autres, comme moi, on peut se demander l’utilité de ce passage. Était il nécessaire ?
L’apparition de Suppaman (la parodie de Superman) est amusante.
Si on met de côté l’arc du Ruban Rouge pour ce tome, ce qu’on va retenir c’est le cross-over avec les personnages de Dr. Slump. Akira Toriyama fait plaisir à ses lecteurs au risque de perdre ceux qui sont étrangers à son ancien manga. Cependant il ne s’agit que dès quelques pages et on se retrouve très vite avec Sangoku dans sa recherche aux boules de cristal.