La Grande Evasion
L'infernal duo Blutch et Chesterfield dans ce 6e volume, c'est, en vrac : - Un Blutch qui CHARGE l'ennemi (si, si ! Il FAUT avoir vu ça) - Toujours la même relation d'amitié indéfectible teintée de...
Par
le 21 mars 2011
7 j'aime
BD franco-belge de Raoul Cauvin et Willy Lambil (1975)
Pour ce sixième épisode, le tandem Chesterfield-Blutch fonctionne à plein ! Après "les déserteurs", ils vont ici se faire arrêter par les sudistes et vont, en même temps que nous, faire connaissance avec un geôlier de la pire espèce : Cancrelat ! Laid, obstiné, bête et méchant ! Une véritable tête à claques et dieu sait s'il va en recevoir : un personnage faire-valoir-type, que l'on retrouvera dans d'autres tomes. Bien sûr, nos deux tuniques bleues vont tenter de s'évader et auront une conduite héroïque et se verront présenter le lieutenant (sudiste) Armand Sleijtchig, du 40° régiment des cantinières de Napoléon III ! Si, si, c'est en page 43 ! Très bon scénario de Cauvin comme d'habitude (sauf pour les barbelés qui sont anachroniques) et où les gags et les baffes ne manquent pas, mais la discipline très dure non plus, encore qu'ici elle ait été minimisée ! Excellent.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 25 sept. 2018
Critique lue 206 fois
D'autres avis sur La Prison de Robertsonville - Les Tuniques bleues, tome 6
L'infernal duo Blutch et Chesterfield dans ce 6e volume, c'est, en vrac : - Un Blutch qui CHARGE l'ennemi (si, si ! Il FAUT avoir vu ça) - Toujours la même relation d'amitié indéfectible teintée de...
Par
le 21 mars 2011
7 j'aime
La prison de Robertsonville, c’est un peu La Grande Evasion de Steve McQueen, revue et corrigée par les Lapins Crétins (oui, rien que ça !). Un album complètement burlesque, dont le scénario tient...
Par
le 1 juil. 2013
5 j'aime
2
Ce 6ème tome des Tuniques Bleues est bien sympatique à lire. Première caractéristique, et pas des moindres, on y introduit Cancrelat. Cancrelat est aux Tuniques Bleues ce que Chris de Valnor est à...
Par
le 30 janv. 2013
5 j'aime
Du même critique
Tu te laves toi après avoir fait l'amour ? Ben oui, pourquoi ? (suite ci-après Ben parce que tu devrais baiser plus souvent !Ce film commente deux choses : la sortie du film "Gorge Profonde" en...
Par
le 19 août 2022
8 j'aime
13
La Baule ? Sans le punching !La réalisatrice et aussi co-scénariste (ça fait déjà beaucoup !) avait très mal vécu jadis le divorce de ses parents quand elle avait douze ans... De là à faire de...
Par
le 20 janv. 2021
8 j'aime
13
Malgré toutes mes recherches, je n'ai pas réussi à savoir pourquoi ce si beau film avait été affublé d'un titre aussi neuneu ! C'est même la seule chose ratée dans cette oeuvre ! Certes, l'histoire...
Par
le 21 déc. 2019
8 j'aime