J'ai trouvé le père de Taniguchi, mangaka le plus BDcompatible ayant été justement son assitant, lui même père spirituel de Vivès le francais (à croire qu'ils ont fait un enfant dans le dos de leur femme quand ils ont voyagé à droite à gauche.
Pourquoi cette introduction ?
Car qu'ils sont tous les trois spécialistes de l'ambiance éthéré qui ne contient rien à part elle-même : beaucoup de blanc pour cacher du vide, laisser le spectateur se perdre dans le bruit de même couleur de leur esprit en train de chercher de la profondeur et des interprétations.
Parce que ca parle de quoi au final "la dame neigesang" ?
Bah de vengeance !
Et oui de cet acte qui mène au vide de l'âme et du corps, puis à..... rien du tout...... c'est d'ailleurs pour ca que pour rallonger le manga les auteurs rajoutent une intrigue politique qui n'a rien à voir avec le reste, et ca même les fans de cette œuvre ne pourront pas être en désaccord avec moi.
J'aimerais bien rajouter des lignes mais rien ne me vient pour un récit aussi basique qui se veut lui-même plein de manque créatif que l'on appelle "épuration artistique par l'économie de lignes de dessins et de textes".
Ca a inspiré pas mal Kill Bill d'un certain cinéaste sinon.