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Une « coïonnerie »
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Par
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61 j'aime
16
Boys don't cry
Une intrigue sans surprise autour d'une revanche sur un circuit automobile. Pour une fois, c'est Steve Warson qui est au centre de l'intrigue, et pas Michel. Avec son virilisme triomphant et sa morale à papa, c'est un album qui a plutôt mal vieilli. Même si Françoise Latour campe une fille forte et indépendante, assez inédite dans la BD franco-belge de l'époque : dommage que la dernière page la fasse rentrer dans le rang.
La grande originalité de cette intrigue, c'est sûrement de ne réserver finalement qu'une dizaine de pages à la course à proprement parler ... mais plus de 50 planches pour les mois de préparation en amont de cette course. Jean Graton peint avec passion l'univers des magazines automobiles, des usines et des essais secrets. L'inclusion de la plupart des grandes écuries de l'époque, et notamment l'apparition d'Enzo Ferrari, ajoutent une belle authenticité à l'aventure de Michel Vaillant.
Un album solide, mais moins original que le précédent.
La grande originalité de cette intrigue, c'est sûrement de ne réserver finalement qu'une dizaine de pages à la course à proprement parler ... mais plus de 50 planches pour les mois de préparation en amont de cette course. Jean Graton peint avec passion l'univers des magazines automobiles, des usines et des essais secrets. L'inclusion de la plupart des grandes écuries de l'époque, et notamment l'apparition d'Enzo Ferrari, ajoutent une belle authenticité à l'aventure de Michel Vaillant.
Un album solide, mais moins original que le précédent.
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le 7 mai 2014
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