Une impression mitigé, un dessin forcément différent de Delaby mais tout aussi agréable, même si les visages peuvent paraître très anguleux.
La où ça pêche plus, c'est l'histoire même, le héros principal se trouve réduit en carpe béta, objet sexuel presque pathétique et une vilaine impression de non narration.
Le début du tome annonce du changement portant, mais un événement annihile totalement ces avancées pour tourner en rond et conclure sur la même situation initiale.
Un sentiment comparable à la lecture du dernier Avant la quête, mais un peu moins bien fait.
Dommage mais faut voir la suite.