Le jour où ça macule
J’ai découvert l’existence de cet album hier via un trailer au casting alléchant : des auteurs européens, américains et japonais… et du luxe en plus. La commande semble être une variation libre...
Par
le 2 déc. 2015
8 j'aime
3
BD (divers) de Boulet, Eddie Campbell, John Cassaday, Bob Fingerman, Atsushi Kaneko, Keiichi Koike, Emmanuel Lepage et Taiyō Matsumoto (2015)
Une dizaine d’histoires parfois trop courtes, parfois sans intérêt mais suffisamment variées pour que chaque lecteur puissent y trouver son compte. Les dessins sont en tout cas pour la plupart magnifiques mais en seulement quelques pages, difficiles de s’immerger complètement dans ces différents récits.
Créée
le 3 sept. 2016
Critique lue 219 fois
D'autres avis sur Le Jour où ça bascule
J’ai découvert l’existence de cet album hier via un trailer au casting alléchant : des auteurs européens, américains et japonais… et du luxe en plus. La commande semble être une variation libre...
Par
le 2 déc. 2015
8 j'aime
3
Un peu déçu par ce collectif porté par de beaux noms de la bd (suite aux histoires trop courtes ? ) ,à part 2 ou 3 auteurs qui arrivent a faire quelques choses de sympa on reste quand même sur sa...
Par
le 5 déc. 2015
5 j'aime
2
Dis-donc ça rame en postface pour tenter de donner de la saveur à un recueil très inégal... Une belle prestation de Matsumoto, Cassaday (même si un peu facile), Lepage. Les autres récits ne m'ont pas...
Par
le 2 mars 2021
2 j'aime
Du même critique
Une parfaite évocation de la société anglaise des années trente avec les aristocrates d'un coté et les serviteurs de l'autre. Un monde fascinant fait d'hypocrisie, de mensonge et d'apparence. Alors...
Par
le 26 juil. 2011
20 j'aime
3
Encore une BD que je n'avais pas franchement envie de lire. Un sujet lourd et tellement exploité que malheureusement j'ai l'impression qu'on en a fait depuis longtemps le tour et qu'à part le devoir...
Par
le 17 juin 2012
12 j'aime
Un cow-boy solitaire débarque dans un bled perdu ou comme par hasard, les pauvres prospecteurs se font voler leurs concessions par un gros méchant. Alors le gentil cow-boy solitaire (même pas peur)...
Par
le 25 févr. 2011
11 j'aime