Les histoires des japonais le sont toutes, devant jouer le rôle que leur dicte leur cercle social de plus en plus élargis à mesure qu'ils grandissent : leur champ de vision ne changeant pas peu importe leur taille car toujours ramené aux limites que leur donnent la société.
Un peu comme un chapiteau qui se monte mais reste un cirque peu importe à quel point on le remplit d'air.
Dans ce cas-ci, un homme va détester son père à cause de sa volonté de sauver sa famille du mieux qu'il peut sans que le fils le sache, et il voudra continuer d'aimer sa mère car perçue comme forcément une divinité de grâce par sa progéniture.
Mettant tout le monde dans des cases, sans s'en rendre compte, tout est flou dans l'esprit groupe, tout n'est plus qu'énergie à ressentir chez ce que projette l'autre sans voir les faits véritables.
Tout ca est entrecoupé de moments toujours baillant car pas plus montrés que ca, vu qu'ils ne sont donnés que comme exemples aux illusions de la vie d'un homme.
Une simple réunion de famille comme un autre.
Pas besoin d'en faire tout un plat.