L'introduction de cette série avait bien débuté. Les tomes qui ont suivi n'ont fait que renforcer l'impression d'une saga de haute tenue. Ce tome 6 conclut de façon éblouissante une narration exceptionnelle.
Les dessins, plus maîtrisés que jamais, mettent un avant un véritable talent ; l'auteur utilise également à merveille les ombres et les lumières ; la couleur est juste superbe, à l'instar de ces habituelles premières planches en noir et blanc qui introduisent chaque tome et donnent de la profondeur au récit.
Celui-ci est plus abouti encore que ses prédécesseurs. Les distorsions temporelles emportent l'esprit du lecteur dans un maelstrom de révélations qui le laissent pantois. La fin est cet égard parfaitement réussie.
Nul bémol ne vient troubler l’édifiante symphonie jouée par Denis Bajram. Un grand air spatial qui donne du souffle à la science-fiction !
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