J’aime beaucoup les albums de Yoko mais Roger Leloup a parfois beaucoup d’idées et pas assez de pages pour les dessiner ce qui rend ses aventures brillantes et rythmées mais quelques fois un peu trop denses. Les lecteurs comme moi s’y perdent et finissent par se désintéresser du scénario. C’est le cas avec ses archanges de Vinéa dont je n’ai pas vraiment saisi le but. Heureusement, l’imagination et le talent de l’auteur pour créer des mondes originaux suffisent à nous faire oublier ses petits défauts et il m’en faudrait plus pour me détourner de la jolie petite japonaise.