Quand une série fonctionne et que les auteurs décident de compléter l'univers, c'est souvent pour le meilleur ou pour le pire. Ici (en toute subjectivité), l'un et l'autre s'alternent dans un album d'histoires courtes, dont certaines sont de très belles réussites esthétiques ("le corps de l’œil"), et d'autres, des catastrophes manquant cruellement de fluidité ("Nävis console"). Ce n'est en tout cas pas la variété qui fait défaut.
Sympa pour les fans de Sillage qui obtiennent un peu de rab' à grignoter, à éviter pour les autres qui ne s'y retrouveront probablement pas.