Ce tome remet sur le devant de la scène Bigby et plante les graines à une nouvelle forme de conflit avec l'Empire. Ce tome un peu long par moment (du coup un peu déplaisant), n'est pas aussi mordant et fougueux qu'au début et surfe sur le mouvement initié au début de cette saga, bref scénaristiquement cela commence dangereusement à devenir plat.
Pour les dessins Buckingham est lui aussi un peu moins flamboyant je trouve sous les couleurs de Daniel Vozzo.
Donc ce tome se lit pour les afficionados, on attend toujours la surprise et l'excitation des événements.