Fan d'histoire à l'eau de rose pour mec virile, j'ai commencé Love Hina avec un peu d'appréhension.
Un scénario vu et revu avec une histoire peut être d'amour ou de simple Friendzone saupoudré de sauce soja. Cette sauce qui rend les intellos sexy car le seul but des japs est de faire une fac réputée pour faire carrière ensuite.
Une fois cette étape passée, on se retrouve avec un manga qui remplit le cahier des charges plutôt correctement avec des situations cocasses et des dessins un tantinet coquin qui donneront une demi molle au collégien de 12 ans qui n'a pas la fois d'attendre dimanche minuit sur TMC.
Sans casser la baraque à frites, j'ai tout de même envie de lire la suite. Même si je suis peut être un peu blasé après avoir vu Prison School beaucoup plus déjanté qui semblait assumer pleinement son caractère coquin voire malsain pour me faire éclater de rire.