Histoire confuse
J'ai été vraiment déçu par cette BD, dont le thème m'inspirait pourtant beaucoup : l'histoire est très confuse (l'alternance des styles de dessin n'aidant pas, mais même le scénario de Mathieu Bablet...
Par
le 16 janv. 2023
1 j'aime
BD (divers) de Mathieu Bablet, Prince Rours, Daphné Collignon, Isabelle Bauthian (Ars O’), Claire Fauvel, Thomas Rouzière, Sumi et Allanva (2022)
"A Bacharach, il y avait une sorcière blonde ;
Qui laissait mourir d'amour tous les hommes à la ronde." - Alcools, Guillaume Apollinaire (1913)
Une écriture complexe, aux multiple méandres
Des dessins étonnants aux auteurs variés
Une intrigue qui sait se montrer captivante
tout du moins sur sa deuxième moitié
Un style éclectique aux couleurs fascinantes
Mais un chapitre final tout de même expédié
Une thématique intéressante qui ne plaira pas aux machos
Mais qui ne peut s'empêcher d'avancer avec des gros sabots
Loin d'être parfait malgré ses très bonnes intentions
L'idée d'un chapitre - un dessinateur mérite nos félicitations
Le rabâchage des sous-entendus peut se montrer agaçant
Dans cette histoire d'où les hommes sont (pratiquement) absents.
En résumé : Un très très beau livre (comme d'hab avec Label 619), pour une très belle histoire (mention spéciale pour le chapitre "variation sur le thème de la mort" !) pas linéaire pour un sous. Chaque chapitre voit son dessinateur changé ce qui est une superbe idée. Quelques sous-entendus sur l'oppression des femmes par les hommes totalement justifié mais un peu lourd dans son traitement. Une BD quasi expérimentale qui ne sera pas pour tout le monde.
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Créée
le 24 janv. 2024
Critique lue 49 fois
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le 16 janv. 2023
1 j'aime
"A Bacharach, il y avait une sorcière blonde ;Qui laissait mourir d'amour tous les hommes à la ronde." - Alcools, Guillaume Apollinaire (1913)Une écriture complexe, aux multiple méandresDes dessins...
le 24 janv. 2024
Je me suis laissé embarquer totalement, contrairement à d'autres lecteurs les changements de style de dessin et les passages de textes m'ont bien plus, ou plutôt je ne les ai pas sentis, comme...
Par
le 12 janv. 2023
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