Bon, niveau couverture, c’est sûr, c’est pas le plus sexy des albums et du coup pas le plus attirant mais je ne regrette pas de m’y être penchée. Un diptyque rapide à lire et à l’humour déroutant.
L’intrigue débute lorsque Emma découvre qu’elle est morte assassinée. Qui donc pourrait en être responsable ? Son avide nièce qui n’attend que de toucher l’héritage ainsi que sa maison ? Les promoteurs ? Le maire ? Ce qu’on sait, c’est que quelqu’un avait déjà tenté de lui faire peur en lui envoyant des lettres de menaces. Mais pourquoi en voudrait-on à la vie de cette vieille dame ? Pourquoi sa maison intéresse t-elle autant de gens ?
Au fur à à mesure, on découvre qu’Emma n’est pas la seule victime de ce quartier tant convoité : d’abord il y a sa vieille « ennamie », Line, morte étouffée avec un oreiller alors qu’elle était en stade terminale d’un cancer puis le mari même d’Emma renversé par une voiture. Un accident ? Mmh… Ça fait beaucoup trop de coïncidences.
Autre question ? Est-elle la seule à s’être zombifiée ? Et bien non ! Quelle surprise pour elle de voir Line zoner dans le cimetière depuis la sortie de son cercueil, se nourrissant de la chair d’animaux passants. Mais surtout, Pierre, son mari tant aimé est-il, lui aussi, toujours de ce monde ?
(Le reste de ma critique ici)