Le principe d'univers parallèle est très sympa, la balance entre les deux mondes est intéressante, l'univers graphique est fouillé et on ne peut que s'émerveillé devant cette réinvention de New York à la limite entre le steampunk et le jurassic. En soi, Ekhö n'est pas une mauvaise bande dessinée.
Ce qui est gênant, c'est ce que j'appelle "L'Effet Soleil". Cet effet, ou plutôt cette constante, chez l'éditeur Soleil devient ennuyeuse à mesure que les années passe. La prédominance des poitrines, l'abondance de fesses et la sur-exploitation de blagues grasses rend tout indigeste.
Peut-être que c'est parce que je n'ai plus 15 ans...