Ah la la ! Reborn, Reborn, Reborn, toute une histoire ce manga ! ^^
Lorsque j'ai commencé à m'intéresser aux Shonens et à la culture manga du haut de mes 13 ans à l'époque, avec One Piece, Bleach, Fairy Tail et Naruto (la base quoi ^^, mais on quasiment tous commencé avec l'un de ces 4 là), Reborn était également dans mon viseur (la métaphore est bien choisie puisqu'on parle de mafieux et de tueurs à gages) mais, je ne sais moi même pour quelle X raison, je n'ai jamais entamé l'achat des tomes, ayant eu l'oeil sur d'autres séries, j'ai finit par l'oublier.
Plus tard au lycée, j'ai eu des recommandations de mes copains également dans le manga quand à la série, ce qui a rallumé la flamme de ma volonté et j'ai ainsi commencé la série, cependant, après une vingtaine d'épisodes ma flamme s'est éteinte, je n'avais pas été conquis et bien loin de moi l'envie de continuer quand bien même je savais que le meilleur était à venir.
Et puis enfin, ce n'st ni plus ni moins qu'il y a 4 mois qu'une nouvelle amie rencontré à la fac se met à me vanter très élogieusement Reborn, bien qu'ayant encore en tête l'ennui que m'avait procuré l'adaptation animé, ses paroles avaient sur réveiller en moi une nouvelle motivation ! Comme si Reborn m'avait tiré une balle de dernière volonté (XD) j'ai ressuscité et décidé qu'avec ma dernière volonté: JE LIRAIS REBORN !!!
Reborn, manga d'Akira Amano pré-publié dans les pages de "l'usine à légendes" qu'est le Weekly Shonen Jump entre 2004 et 2012, fait parti de ce que j'appellerais le "Deuxième Âge d'or du Shonen Nekketsu" (Le premier correspond de manière plus ou moins délimité aux années 80-90 avec la naissance du genre via Dragon Ball, Saint Seiya, Slam Dunk, Hokuto no Ken, Captaine Tsubasa ect..., dsl, je suis né à la fin des années 90, je n'ai donc pas de connaissance vraiment précise sur le succès du magazine à l'époque mais ce que je sais c'est que les ventes dépassaient easy les 5 millions d'exemplaires hedbo^^), la génial époque des années 2000, les heures de gloire du BIG THREE ! Et si on a souvent parlé de big 3 au Shonen Jump avec One Piece, Naruto et Bleach, à l'époque ou les 3 séries étaient encore en cours (car reste que OP aujourd'hui ^^), on pouvait limite parler d'un "BIG FIVE" en ajoutant au trio Gintama et Reborn.
Reborn fait parti de ces sagas shonens cultes des années 2000 qui a vu apparaître un héritage solide à Dragon Ball, ces shonens qui ont ont laissés leur marque dans les pages du Jump et qui ont inspirés ou inspireront encore sans doute pour longtemps les générations de mangakas à venir.
Et il m'aura fallut autour de 4 mois pour me faire l'une de ces pierres angulaires du genre, pour m'avaler les 42 tomes et les 409 chapitres de ce Shonen de Mafieux déjanté !
Et pour l'avoir lu entièrement je vais rédiger en long en large et en travers tout mes ressentis sur le manga, donc ATTENTION // JE VAIS PAS MAL SPOILER// Alors si toi qui lit cette critique n'est pas à jour dans Reborn ou alors que tu compte le commencer prochainement, je ne saurais trop te recommander de refermer cette critique, ça m'ennuierais de te gâcher la surprise !! ;)
Bon, mais Reborn, qu'est ce que ça vaut ??? Eh ben on va voir ça étape par étape.
I/ Premièrement, l'histoire: l'histoire de Reborn nous emmène au Japon de nos jours (enfin en 2004 pour l'époque ou il a démarré sa publication), Sawada Tsunayoshi, Tsuna, est un élève de première année au lycée Namimori, véritable cancre looser, mauvais en tout, "Tsunaze" comme on le surnomme à cause de son côté bon à rien, mène un quotidien des plus banale jusqu'au jour ou il reçoit à domicile la visite d'un drôle de bébé en costard et gun à la main. Le bébé révèle à Tsuna qu'il est un tueur à gage au service d'une des plus célèbres famille de la Mafia, la "Vongola Famiglia" et qu'il est venu au Japon à la rencontre de Tsuna dans le but de faire de ce lycée looser....le Dixième Parrain de la Mafia ! Le quotidien tranquille de Tsuna bascule alors dans des aventures des plus invraisemblables sous la tutelle d'un Bébé tueur à gage et de ses méthodes d'apprentissages aussi particulière que brutales ^^. Voilà pour le pitch global.
- Comédie, lycée, Mafia, Action, dès le départ Reborn donne le ton !
Le synopsis, typique du genre puisqu'il met en scène un raté promit à un grand destin indépendamment de sa volonté propre est pour le moins alléchant et pique directement notre curiosité.
Après des pirates, des ninjas, des shinigamis, des samouraïs ect, c'est au tour de l'univers de la mafia de passer sous le signe du shonen (les Japonais arrivent vraiment à faire de l'or en transformant tout est n'importe quoi en manga décidément, ça ne cessera jamais de m'impressionné !). Ca part bien, on sent à vue d'oeil un potentiel énorme et une multitudes de possibilités narratives qui ne demandent qu'a être écrites !
Mais mettons sans perdre de temps les points sur les i, comme ça a déjà été dit et redit par les critiques (mais mieux vaut trop insister que pas assez), Reborn et un Shonen mais Shonen ne veut pas forcément dire Nekketsu (aventure/combats) et Akira Amano a très explicitement fait la distinction en choisissant dans un premier temps de jouer la carte du gag manga sur les 7 premiers tomes.
A la Gintama, Beelzebub, Amano multiplie les situations comiques afin de parodier l'univers sombre de la pègre en décrédibilisant tout caractère sérieux qui se profile; de cette manière, dans le rire et la bonne humeur les premiers tomes s'accorde à présenter l'apprentissage de Tsuna au rythme de bombes et de balles de dernière volonté pour dresser les caractéristiques type et les devoirs de la mafia. On sent bien qu'Akira Amano, l'auteure à du pas mal se documenter sur le sujet (sans doute s'est elle inspirée de près ou de loin du "Parrain" de Copola, le film culte de 1972). Elle aurait très bien pu se contenter de mettre en scène les Yakuzas locaux mais NADA ! C'est pas le menu fretin ici non, c'est la mafia ITALIENNE pure souche Baby !
Mais Reborn n'est pas une oeuvre qui se prend au sérieux bien au contraire, on est pas dans le milieu de la pègre, pas d'ombre de Whisky, de billets verts, cigares ou casino mais dans les petites banlieues nippone tranquille.
Mais TOUT le problème est là ! Non pas que ce soit une mauvaise idée d'avoir commencé par de la comédie gagesque et des chapitres écrits au feelings pour nous présenter les différents persos dans un premier temps mais l'ennui c'est que le gag manga est un exercice délicat et pour le coup....ça marche sur les 15-20 premiers chapitres mais sur une soixantaine....n'ayons pas honte de le dire on finit par s'ennuyer FERME ! Mon dieu que c'était long et ennuyeux ! J'vous jure qu'à plusieurs reprises j'ai eu besoin qu'on me retire une cartouche de dernière volonté pour me booster parce que j'ai sérieusement pensé à arrêter au bout de 3 tomes ! Toujours les mêmes mécanismes, l'humour très vite s'éteint et ne fonctionne plus, on enchaîne les chapitres sans saveurs qui sont là pour faire du remplissage gratuitement. Alors pourquoi avoir continué me demanderiez vous ? Ben tout simplement car j'ai su au préalable qu'il faudrait attendre pour avoir droit à du vrai Nekketsu, malgré l'ennui profond des premiers volumes (ça doit d'ailleurs être pour ça que Reborn n'a jamais eu de vrais succès en France, le gag manga n'est pas une formule réputée pour marcher en occident) je voulais vraiment voir à quoi ressemblerais un Nekketsu de Mafia, je ne voulais pas au vu de la réputation du manga au Japon passer à côté d'une oeuvre aussi populaire. Je me suis donc accroché.
II/ L'Histoire arc par arc (c'est là que ça va spoiler grave !)
Comme évoqué précédemment, Reborn commence par des chapitres écrits au feeling sur un ton humoristique dans le but d'introduire les protagoniste de son récit et entamer leur insertion dans cette aventure mafieuse en insistant bien sur les caractères atypiques de chacuns
Tsuna, trop timide pour avouer ses sentiments à Kyoko; confronté à l'enseignement "explosif" (c'est le cas de le dire ^^ XD), Gokudera qui voue un véritable culte au "dixième du nom" telle une fan girl (yaoi en vue ?! o_0), Yamamoto le fan de Base Ball, Ryohei Sasagawa et sa passion "à l'extrême" pour la box, Lambo, la petite vache pleurnichard et qui raffole des sucreries, Kyoya Hibari qui veut "mordre à mort" tout ceux qui dérogent aux règles de son bahut, Shamal le médecin coureur de jupons, Bianchi et ses "poison cooking" ect...
.Viens ensuite l'arc Kokuyo aux tomes 8-9, c'est là que la transition su gag manga au shonen se fait, à partir de là, on change de ton avec des battles badasses de supers pouvoirs cheatés comme en témoigne le duel de Tsuna VS Mukuro ou le gars nous sort des p* de sortilèges d'illusions, pouvoirs psychiques, possession d'esprit ect...mais...sans dec, comment un danger aussi dangereux a-t-il pu être aussi ignoré depuis le début du manga alors que le lycée Kokuyo est juste à côté de celui de Namimori.... et pourquoi les flics agissent pas avec un taré pareil en liberté o_o ?! n* la logique !
. Une fois la première battle remporté, Amano entame direct avec un autre gros arc qui balance du lourd avec l'entrée en scène de la Varia, la plus puissante team d'assassins à la solde de la Vongola Famiglia. Naruto a l'Akatsuki, Bleach les Arrancars, eh bien Reborn lui a la Varia, une belle brochette de sociopathes ces gars là ! Srx, ces gars ont rien à envier aux organisations des autres Shonens.
A partir de là l'histoire entre dans une de ces guerres entre gardiens. Cet arc permet à Amano de confirmer, d'officialiser la naissance du commando du 10ème Parrain, Tsuna commence à s'entraîner et à vouloir devenir plus fort, la flamme de dernière volonté ne sert plus de ressort comique mais belle et bien d'un pouvoir offensif/défensif pour protéger ses amis.
. L'arc du Futur est à Reborn ce que l'arc du monde magique est à Négima, une véritable saga à part entière comportant plusieurs sou arcs narratifs. Finit les quartiers peinards, les salles de classes et les petites plaisanteries du début, avec cet arc étalé sur pas moins de 15 tomes (du 16ème au 30ème), qui couvre pas moins d'un tiers du manga, Reborn achève de révéler une bonne fois pour toute son vrai visage et l'étendue de l'ambition de sa dimension de Nekketsu !! A la façon d'un Retour vers le futur, Akira Amano ne se limite plus à la mafia mais nous sort un vrai gloubiboulga de Fantastique-Science Fiction à base de méchas, artefacts dotés de pouvoirs étranges, univers parallèles, dinosaures humanoïdes (Jurassic Park ?) et autres trucs encore plus nawak ^^
Mais là ou Négima avec l'arc du Monde Magique s'en tirait à merveille tant Akamatsu multipliait les rebondissements et les enjeux rythmés crescendo, Akira Amano, d'un point de vue scénaristique, à enregistrée des hauts et des bas dans cet arc (peut être TROP ambitieux), soit des combats les uns sur les autres soit des chapitres vides d'actions et surchargés de bulles explicatives décourageantes.
. Généralement, les fans ont tendance à dire que les 2 derniers arcs de Reborn sont mauvais voir foirés mais perso je ne suis pas d'accord sur tout, du moins pour l'arc post future, celui de la cérémonie de succession avec les Vongola vs les Simons ou vraiment les enjeux sont plus décisifs et sérieux que jamais. Amano décide de nous plonger dans le secret de la naissance de la Vongola Famiglia avec des twits finaux qui m'ont littéralement laissés sur le c*l et un schéma narratif digne de Saint Seiya et sa bataille du sanctuaire avec un twist ultime semblable à celui de la fin de l'arc Soul Society de Bleach et un Boss final plus démoniaque jamais.
. L'heure du dernier arc a sonné, avec la guerre des Arcobalenos et la malédiction de l'Arc en ciel, Amano donne la clef de toutes les énigmes, pourquoi Reborn et les autres bébés à la tétine ont t-il cette apparence, quels sombres secret se cache derrière ces tétines. Le monde de la mafia connaît sa plus grande menace.
Autant j'étais à fond dans l'arc Simon et même dans le dernier....mais les 2 derniers tomes sont juste un bâclage total ! Amano a fait monter la pression en accentuant le danger de la menace et en mettant tout en scène pour nous offrir THE bouquet final en réunissant toutes les fortes têtes du manga, amis comme adversaires.....tout ça pour 15 chapitres de fights sans saveur avec un ennemi final ridicule, trop vite expédié et un chapitre final qu relève presque du foutage de g* !
Il n'est pas dans mes habitudes de cracher sur les fins de shonens mais là...même si c'est toujours une bonne symbolique de faire écho aux premiers chapitres, le coche est complètement loupé pour 20 pages de remplissage et c'est limite si l'auteure en 20 pages...ne tue pas carrément toute l'évolution de son héros. Donc c'est sur une mauvaise note que ça finit, à l'image du début, pas glorieux.
III/ Maintenant, les personnages. Alors, les personnages de Reborn sont à prendre avec des pincettes parce que selon moi, ils sont à la fois un point fort et un des plus grand point faible du manga.
Les personnages sont tous sympathique, ont une certaine vraisemblance avec le lecteur, c'est pas le charisme qui leur manque mais le problème...c'est qu'ils n'évoluent quasiment pas en fait !
Tsuna n'a vraiment pas le charisme d'un Luffy ou d'un Ichigo, aussi classe et badasse puis ce -t-il être lors des affrontements avec les flammes de dernière volonté et les X-Gloves, le personnage tout au long du manga n'arrête pas de s'apitoyer sur son sort, de rabâcher qu'il ne veut pas devenir parrain et ne prend pas son destin en main, et on en parle d'Hibari toujours en mode" bad guy sanglant of the Drakness" antipathique !^^ Alors lui mais il m'a bien saoulé comme perso, je comprend absolument pas pourquoi toutes les lectrices sont en kiffe sur lui (le personnage est carrément devenu plus populaire que Tsuna dans les sondages.
Si le fan service (sexuel) est très rare dans Reborn, vu que c'est une femme au commande on se lâche, on multiplie la surenchère de beaux gosses (Yamamoto, Hibari, Dino, Mukuro, Squalo, Byakuran...^^) pour attirer les midinettes et côté personnages féminins....MON DIEU C'EST UNE VRAIE CATA O_O !
C'est tout simplement pas croyable ! Autant les Sakura, Orihime, Lucy ne me dérangent pas mais là c'est le gros lot ! Sans conteste Reborn gagne easy la palme d'or du manga aux personnages féminins les plus inutiles !!
Kyoko, Haru,Chrome, Lal Mirch, Bianchi...toutes aussi nunuches et inutiles les unes que les autres, on explose les records sur le Cruchomètre là !!
Kyoko et Haru ont étés complètement mises à l'écart (surtout déçu pour Haru qui était présentée au début comme une hyper active persévérante)
genre pendant l'arc du futur, qu'est ce que l'auteure leur donne à faire ? ...La vaisselles et les repas, (c'est pas un peu sexiste ça Amano ?!^^) et le motif de leur présence dans le futur: faire progresser les gardiens Vongola de façon à ce qu'il aient quelque chose à protéger (gros LOL)
Quand aux autres, Bianchi, Chrome et Lal n'en parlons pas.
La première était pourtant présentée comme utile aux combats avec sa capacité atypique du poison cooking mais l'auteure a du se rendre compte à l'arc Kokuyo que son pouvoir ne valait pas grand chose en combat, résultat Bianchi n'a plus servit à rien depuis le tome 8 ^^
Chrome, alors de base elle, je soupçonne l'auteure d'avoir juste voulu concrétiser une volonté de fan service en féminisant Mukuro (parce que Chrome c'est clairement Mukuro en fille, vous allez pas me dire le contraire ^^). Ensuite, malgré sa place dans le manga qui aurait du lui permettre de briller équitablement aux autres, le perso n'a été que rarement mit en valeur et lorsque ça a été le cas, c'est souvent pour des rôles mineur. Chrome est un personnage qui ne sert que de faire valoir, l'auteur a juste ignoré son potentiel indépendant en faisant d'elle un personnage objet de Mukuro du coup dès que Chrome est impliquée, Mukuro se ramène, pfffff.
Lal, apparu au début de l'arc du futur nous apparaissait à l'image d'une Yoruichi dans Bleach, une figure féminine adulte au rôle de mentor et informateur sur le terrain mais là encore
Une fois qu'elle se sera révélée utile à enseigner à Tsuna et aux autres comment utiliser les boîtes armes dans le futur, dès le début de l'assaut de la base melone, elle se fera mettre au tapis et finira exclue jusqu'à la fin de l'arc hormis 2-3 prises de parole insignifiantes.
Sérieusement mais HEUREUSEMENT qu'Uni est là pour remonter le niveau car sans elle, ça aurait été l'échec total !
Uni mais qu'est ce que j'ai adoré ce perso, sans aucun doute elle restera mon personnage préféré du manga ! Je l'adore, elle est vraiment trop mimi !
(http://vignette2.wikia.nocookie.net/reborn/images/a/aa/Yuni's_Return_Main_Page_Version.png/revision/latest?cb=20110922181451)
Princesse des arcobalenos et Loli iconique du manga, elle elle sait se rendre utile et risquer sa vie !
IV/ Les combats dans Reborn auront mit du temps avant de vraiment me convaincre,
Des planches inégalement remplies surchargées de données techniques et d'explications des mécanismes du power up qui prennent toute la place dans des bulles encombrantes; un dessin retro aux airs de Bleach et de Dragon Ball qui s'améliore au file du temps mais valorise assez mal les scènes d'actions qui (du moins ça s'améliore vers les tomes 27-28, vers la fin de l'arc du Futur).
Des affrontements assez souvent trop bordéliques, fouilli et même brouillons à certaines batailles.
Des combats mélangeants un peu tout et n'importe quoi, un mixe de DBZ (la flamme de dernière volonté est explicitement inspiré de l'état de Super Saiyen de Goku) avec des armes blanches, des gadgets de haute technologies, des animaux kawaii comme des Pokémons, mais ça donne quelque chose de savoureux !
Sans parler des arcobalenos, ces 7 petits bébés trop choupi ! <3 (faut bien mettre un peu de chibi ^^)
(à noter qu'Akira Amano a fait un effort notable pour insérer des expressions de la langues Italienne dans le vocabulaire de ses personnages, comme par exemple: "arcobaleno" qui signifie arc en ciel)
Bon, après un tel pavé...me voilà complètement lessivé, voilà, je crois bien que l'effet de la dernière volonté a quitté mon corps ! En définitif, Reborn est un Shonen culte qui injustement a été mit de côté en France et n'a jamais eu le droit à son succès. Si j'ai pas mal étalé sur les défauts évidents de l'oeuvre, la lecture de Reborn malgré un début laborieux et une fin foirée m'a quand même fortement diverti. Une comédie Nekketsuesque de Mafia aussi badasse qu'hilarante; véritable hommage à DBZ et au Parrain de Francis Ford Copola, entre mafia, aventure, comédie, en passant par de la SF futuriste, Akira Amano nous livre ici une vraie petite perle bourrée d'inventivité et haute en couleurs, à l'image d'un "Arcobaleno".
"Grazzi" Amano ! 15/20
Maintenant, Ciao ! :)
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Créée
le 13 févr. 2017
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