Dix-Sept continue son initiation parmi les Chevaliers d'Héliopolis, après s'être justifié auprès de ces derniers de ses agissements, notamment le baiser avec Napoléon. Point de flashback ici, on est au cœur de l'action et des machinations des alchimistes immortels provoquant la campagne de Russie et sa débâcle. Les sentiments que se portent mutuellement Dix-Sept et Napoléon sont au cœur de l'ouvrage, car il ne faudrait pas que Dix-Sept se montre trop faible face à ses sentiments. Bien évidemment, Napoléon n'est pas mort à Sainte-Hélène, et j'ai même appris de source extérieure que son véritable symbole était l'abeille, celle-là même qu'il porte en son nombril dans la série et le rend invulnérable. Joli tourneboulé historique, cette série est bien dessinée et les apparences successives de Dix-Sept, tout-à-tour homme ou femme, sont tout en délicatesse. C'est pourquoi je mets quand même 7/10 malgré une intrigue peut-être un peu trop rapide, quoique allant droit au but. Hâte de lire l'ultime épisode.