Nous sommes au VIe siècle après J.-C dans la capitale du petit royaume libyen de N’nas Amon. Perses et byzantins se sont alliés pour faire tomber le royaume. La capitale assiégée ne tiendra plus très longtemps. La reine qui à fait appel à des mercenaire crétois, thraces, germains et sarmates, charge 6 de ces dernières d’escorter son fils à la cité secrète de Jabbaren. Ces guerrières sont rejointes en cours de route par l’amie d’enfance du prince. Ensemble elles vont affronter les ennemis du prince. Malheureusement 4 guerrières sarmates y laisseront la vie. Arrivés dans la cité les rescapés découvrent que tous les habitants ont été passés au fil de l’épée. Le prince va perdre la vie lui aussi. Et alors que les deux dernières sarmates s’apprêtent à quitter la cité l’amie du prince demande à lire le message secret qui leur avait été remis au départ. La reine avait prévu que le prince n’arrive pas à Jabbaren ou que ses habitants aient été tués. Aussi la veille du départ avait’elle fait boire à son fils et aux guerrières une potion, sorte de croisement entre le viagra et le GHB. Les guerrières comprennent alors qu’elles sont enceintes du prince. Elles décident avec l’amie du prince qui avait elle aussi couché avec lui, de rester dans la cité dont les vivres n’ont pas été pillées. Elles y resteront cinq ans avant de partir toutes les trois cinq ans plus tard avec leurs enfants respectifs.
Je reconnais que le scénario est cousu de fil blanc. Mais j’aime bien ce type d’histoire, où le royaume disparaît sous les coups de ses ennemis alors qu’un(e) héritier(e) voit le jour et reprendra un jour son royaume. On ne dit pas si ce sera le cas ici, mais c’est ce que la reine espérait. Et je dois avouer que de jolies guerrières en tenue légère est quelque chose d’agréable à l’œil, et que c’est pour ça que j’ai ouvert la BD la première fois que je l’ai vu (bah oui je suis un homme). Après l’histoire m’a plût et je la relis de temps en temps avec plaisir.