BD franco-belge de Luis Eduardo de Oliveira (Leo), Rodolphe Daniel Jacquette (Rodolphe) et Zoran Janjetov (2015)
Comme à son habitude, Leo nous emmène dans l’espace vers une nouvelle planète colonisable. Comme toujours aussi, les choses vont forcément mal tourné. On peut ne pas aimer ou penser que cet auteur manque singulièrement d’imagination mais on peut aussi comme moi adorer ce genre d’histoire. D’ailleurs l’angle de vue n’est jamais tout à fait le même et cette fois le voyage n’est pas terminé quand l’aventure commence. Ce premier tome est bien sûr une entrée en matière avec présentation du monde et des personnages. C’est sympa sans être exceptionnel et les dessins de Janjetov sont comme toujours magnifiques. J’adore ce dessinateur.
Créée
le 18 mars 2020
Critique lue 112 fois
D'autres avis sur Terre promise - Centaurus, tome 1
Je retrouve avec plaisir Rodolphe et Léo pour une nouvelle histoire dépaysante, faite de science-fiction et de fantastique. Cependant, la progression scénaristique reste très classique pour ceux qui...
le 7 mai 2015
2 j'aime
Je dois avouer que je ne suis, de base, pas trop fan de ce type de BD franco-belges format A4+, 48 pages, couleur, cases bien droites et fermées, colorisées à l'ordi, en séries de quatre à quarante...
Par
le 1 mars 2017
1 j'aime
Premier tome assez sympathique bien que l'on soit en terrain connu et que les dessins sont sacrément laids. En fait Rodolphe et Leo arrivent à avoir assez le sens du suspens et à réussir à poser leur...
Par
le 28 févr. 2017
1 j'aime
Du même critique
Une parfaite évocation de la société anglaise des années trente avec les aristocrates d'un coté et les serviteurs de l'autre. Un monde fascinant fait d'hypocrisie, de mensonge et d'apparence. Alors...
Par
le 26 juil. 2011
20 j'aime
3
Encore une BD que je n'avais pas franchement envie de lire. Un sujet lourd et tellement exploité que malheureusement j'ai l'impression qu'on en a fait depuis longtemps le tour et qu'à part le devoir...
Par
le 17 juin 2012
12 j'aime
Un cow-boy solitaire débarque dans un bled perdu ou comme par hasard, les pauvres prospecteurs se font voler leurs concessions par un gros méchant. Alors le gentil cow-boy solitaire (même pas peur)...
Par
le 25 févr. 2011
11 j'aime
