Un diptyque
Voici ci-joint mes éléments d'analyse sur le diptyque "Top secret" "Mission vers la vallée perdue" des aventures de l'aviateur. Sur la qualité de l'histoire je me garderais d'émettre un avis vu qu'il...
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le 23 mars 2019
Voici ci-joint mes éléments d'analyse sur le diptyque "Top secret" "Mission vers la vallée perdue" des aventures de l'aviateur. Sur la qualité de l'histoire je me garderais d'émettre un avis vu qu'il s'agit des épisodes par lesquels enfant j'ai découvert cette série.
Titre : Top secret / Mission vers la vallée perdue
Auteur : Jean Michel Charlier (scr) Victor Hubinon (des)
1ère publication : « Spirou » « Top secret » n° 1054 à 1075 (1958) « Mission »n° 1078 à 1099 (1958/59)
Publication album : Dupuis
Album utilisé : Tout Buck Danny tome 7 « Vols vers l'inconnu » édition 1987 regroupant :
– SOS soucoupes volantes !
– Un prototype a disparu
– Top secret
– Mission vers la vallée perdue
– L'inédit Mission spéciale
Éléments de critique externe :
Idem que les autres albums cité plus haut (Cf : SOS soucoupes volantes !).
« Top secret » et « Mission vers la vallée perdue » compose les deux volets d'un diptyque, forme qui semble avoir la préférence de JM Charlier.
– Ciel de Corée / Avions sans pilotes
– Menace au Nord / Buck Danny contre Lady X
– Alerte en Malaisie / Le Tigre de Malaisie
– SOS soucoupes volantes ! / Un prototype a disparu
– Top secret / Mission vers la vallée perdue
– Opération Mercury / Les voleurs de satellite
– Alerte atomique / L'escadrille de la mort
– Les anges bleus / Le pilote au masque de cuir.
Soit sur un total de 44, 16 albums sont consacré à des diptyques et 12 à des triptyques.
On constate également que le découpage obéi à la règle du suspense de fin de page signe d'une conception feuilletonesque de l'œuvre qui correspond au mode de diffusion principale de l'époque, la publication en album n'intervenant que dans un second temps.
La monotonie de la mise en case des pages de type damier très caractéristique du travail de JM Charlier indique la mise en place d'une standardisation du travail créatif auquel le graphisme d'Hubinon très inspiré de celui de Milton Carniff s'adapte parfaitement.
L'aventure Top secret / Mission vers la vallée perdue est publié dans Spirou en même temps que les aventures de Spirou « Le prisonnier du Bouddha » (// « Top secret ») et « La peur au bout du fil » (// « Mission vers la vallée perdue »).
L'histoire :
Dans le premier volet les héros apprennent au cours d’une visite en Inde l'existence d'un savant allemand Van Branz retenu prisonnier dans une lamaserie du Tibet, les services secrets US leur conflit alors la mission de le retrouver et le délivrer installé à Darjeeling les 3 aviateurs sont en but à la malveillance de mystérieux adversaire, ayant réussi au prix de milles périls à localiser la prison de Von Branz.
Le deuxième tome est consacré à l'expédition des héros dans l'himalaya.
Éléments d'analyse :
Buck Danny et ses amis (Sonny Tuckson et Tumbler) partent en mission secrète au Tibet pour délivrer un savant allemand. Ils agissent en civil et avec une fausse identité schéma dramatique que JM Charlier reprendra plus tard dans le diptyque « Alerte atomique » « L'escadrille de la mort ». Cet aspect de mission secrète sous couverture est cependant peu développé, les héros continuent à utiliser leurs patronymes tout au long de l'histoire y compris devant des tiers, Sonny s'amuse même à saluer militairement son supérieur Buck.
« Top Secret » P33 2/2 :
Buck : « Tu partiras seul, aujourd'hui. Tumb et moi devons assurer deux services passagers pour Calcutta!... Prend le ''Bellanca'' et fouille la haute vallée de la Kamla!
Sonny (en saluant) : Aye aye, sir ! »
La négligence de cet aspect de l'aventure ne nuit pas trop à l'intérêt du récit celui ci étant assuré par la multiplication des exploits aérien.
La structure dramatique présente plusieurs similitudes avec le diptyque précédent « SOS soucoupe volante » / « Un prototype a disparu ». Une première partie installant la situation avec de multiples séquences et mettant en scène les héros au prise avec une menace diffuse animé par un ennemi non identifié. La deuxième partie met en scène le mano à mano des héros avec leur adversaires, la dramaturgie devient alors classiquement linéaire et plonge les héros dans une situation la plus désespéré possible pour ensuite retourner complètement la situation. On assiste alors à une réduction du groupe héroïque à un seul élément, la linéarité du récit n'exigeant plus une multiplicité de protagoniste. En l'occurrence c'est Sonny habituellement abonné au rôle de contrepoint comique qui prend là en charge le déroulement de l'aventure.
Fonction initiatique :
Comme dans de nombreuses autres aventures le héros-protagoniste éprouve à un moment crucial tout le poids du devoir de sa mission :
« Mission vers la vallée perdue » P40 1/1 :
« Un bref mais terrible combat déchire l'âme de Sonny...
Sonny (en pensée) : C'est abominable !... Mais je n'ai plus le choix!... Je... Je joue l'avenir de mon pays... et peut-être sa vie ! »
Une deuxième bulle de pensée, teinte en bleu, fait apparaître la tête de Buck qui renforce l'impératif moral : « Souviens-toi... notre serment... »
P 40 1/ 2 :
Sonny : Je ne peux pas reculer!... Si terribles que soient les ordres, il faut que j'obéisse...mais je vais essayer laisser au pilote une chance de sauver sa peau ! »
Il est significatif de remarquer que les auteurs recourent à deux types d'expression différents l'interrogation et le conflit s'exprime en penser mais la décision s'exprime sur le mode parler alors que le personnage est seul (P 40 1/ 2) le fait qu'il parle par le hublot ouvert de son avion incite à penser que le message s'adresse là directement au lecteur.
On découvre là le procédé initiatique de la série qui suggère que le conflit intérieur est légitime mais il indique clairement (autant dans le texte que dans la mise en image) dans quel sens il doit être résolu celui de l'obéissance à un principe supérieur qui ne saurais être remis en question.
Remarquons que le départ en mission des aviateurs correspond à un parcours initiatique :
– Il quitte le cocon protecteur du porte avion.
– Ils subissent l'abandon de la tutelle paternelle et protectrice de leur hiérarchie qui en même temps leur donne une mission avec interdiction de revenir sans réussite.
– Ils sont dépouillés de leur pouvoirs et même de leurs identités
Au peut y voir une forme de Kryptie
La question du sacré :
Deux visions du sacré se confrontent :
Celle de l'occident :
Les aviateurs sont porteurs de sacré les avions les mettent dans une position intermédiaire entre le ciel et la terre, à bien des égards ils sont semblables aux moines tibétains, comme eux ils vivent à l'écart du monde. Le porte avion s'assimile à un couvent, une enceinte sacrée volontairement séparé du monde :
– C'est un monde clôt exclusivement masculin.
– Il est réservé à des initiés, la maitrise technique faisant là office d'initiation au sacerdoce. On peut à cette égard remarquer que c'est la technique plus que la science qui fait office de sacré nul allégorie (comme les champignons atomique de « L'étoile mystérieuse ») ou mystère sacré face a un grand œuvre de type alchimique (comme le réacteur nucléaire d' « Objectif Lune »).
– La plupart des membres y font vœu de chasteté (s'il n'est pas interdit le mariage et la charge de père de famille y est considéré comme un signe de faiblesse dans le sens où installe une dualité au sein de l'être, les pilotes marié sont d'ailleurs exclue des missions dangereuses et Buck s'inquiète du fait que le pilote Lester soit marié dans « SOS soucoupes volantes ! »).
– Les exercices militaires fréquemment répété s'assimile à des rituels religieux. L'exercice militaire décrit au début de « Top secret » ressemble à une messe :
– C'est un rituel fréquemment répété :
« Top secret » P1 3/1 :
Sonny : « Encore le cirque !... Quelle vie !... Pas le moindre imprévu !... La routine... Toujours la routine ! »
– Il reproduit un acte sacré de vie et de mort en simulant l'attaque et la destruction de vaisseaux ennemis.
« Top secret » P3 3/2 :
Buck (en pensée): « Voilà une pièce virtuellement détruite et ses servants théoriquement hors d'état de combattre... »
– L'accident dont est victime Sonny à la fin de l'exercice rappelle la gravité du rituel qui par le risque encourut le rattache à la vie et la mort (P 5, 6, 7)
– La manière dont le héros échappe miraculeusement à la mort fait d'eux des êtres exceptionnels. Tout au long de l'aventure les héros ne cesse d'échapper à un sort atroce grâce à une chance surnaturelle qui ne leur fait jamais défaut.
– Le porte avion est un lieu fortement hiérarchisé dominé par la figure paternelle de l'amiral (P 7).
– Le porte avion peut apparaître comme le renouvellement du mythe de l'ile flottante présent dans la mythologie grecque de l'ile de Délos terre sacré consacrée à Apollon où il était interdit de naitre et mourir et qu'on disait flottante avant qu'Apollon l'ancre. Ce thème du monde flottant se retrouve également dans l'œuvre de J.Verne dont un des roman porte le nom « L'ile flottante ».
– Peu évoqué directement dans cet album le porte avion est aussi le lieu de rétention du feu nucléaire porteur de vie et de mort (cf : Fiche bombe atomique) les membres apparaissent là comme des servants du sacré (à mettre en parallèle avec la dimension sacrée dans « Le mystère de la grande pyramide » et « On a marché sur la lune »).
L'absence de mystère est cohérente avec la dimension documentaire de l'œuvre :
– Chaque album comporte des notices documentaire expliquant tel technique ou fait.
– De fréquent hors texte atteste de la véracité des situations décrites.
Ce réalisme procède d'une volonté d'ancrage dans la réalité servant à justifier la véracité de la vision du monde développé, on retrouve une logique de chronique, comme l'atteste l'étroite proximité des fictions racontées avec l'actualité du moment.
Les lamas tibétains une autre vision du sacré :
Les lamaseries tibétaine incarne une forme traditionnel de sacré semblable à celle qu'Hergé met en scène avec les Incas dans « Le temple du soleil » où E.P.Jacobs dans « Le Rayon U », mais à l'inverse de ces œuvres qui distillaient une morale nuancé, « Mission vers la vallée perdue » ravale la spiritualité tibétaine au rang de superstition :
« Top secret » P18 4/3 :
« ...Pour toutes les sectes religieuses et secrètes du Thibet, je suis un monstre malfaisant qui ose prétendre conquérir le domaine sacré du ciel et ainsi se mesurer aux dieux !... Un profanateur impie et dangereux, qu'il faut empêcher de nuire ! »
id. P19 1/1 :
« J'ai vainement tenté d'expliquer à ces moines thibétains le sens, l'utilité de mes inventions, ils n'en ont retenu que le côté effroyable en cas de guerre généralisée. »
id. P19 1/ 2 :
Tumbler : « D'après ce que dit Von Brantz, les lamas qui le retiennent croient que ses inventions sont capables de changer le cours des astres et de provoquer la fin du monde!... C'est pour éviter ces catastrophes que le grand conseil a décidé sa mise au secret à vie ! »
Une tel attitude, découlant d'un refus de l'ubris, ne rencontre qu'incompréhention de la part des héros et de leurs chefs qui ne voit de salut que dans la course à la puissance.
id. P20 4/1 :
Officier du Forrestal : « La collaboration d'un homme comme Von Brantz peut nous donner dix ans d'avance dans le domaine des fusées interplanétaires. »
id. P22 1/1 :
Envoyé de Washington : « Croyez que je n'exagère pas... ce grand savant nous permettrait de prendre irrésistiblement la tête dans la course engagée aujourd'hui pour la conquête du ciel et des espaces interplanétaires »
Plus tard les mystères de l'himalaya sont expliqués rationnellement, s'étant écrasé en pleine montagne Buck en entendant des hurlements et en voyant des traces énormes craint d'avoir à se confronté à des yétis, mais rapidement une explication apparaît.
« Mission vers la vallée perdue » P14 2/1 :
Buck (en pensée) : « Et ces thibétains !... Voilà d'où provenaient ces énormes empreintes que j'attribuais à quelque abominable homme des neiges !... Ce sont celles de leurs pieds chaussés de raquettes à neige !... Quant aux hurlements que j'ai entendus, c'étaient ceux émis par ces énormes trompes ! »
Plus tard les trois aviateurs capturés sont amenés devant le grand lama qui apparaît comme un tortionnaire sadique au comportement médiéval (comme l'illustre sa terrible colère)
id. P31 3/2 :
Le Gd Lama : « Il faut alerter toutes les tribus, tous les monastères des hauts plateaux, donner la chasse aux démons qui ont osé cet abominable sacrilège les faire périr au milieu des supplices les plus épouvantables ! »
Qui les enferme dans un cul de basse fosse entravé par une gangue de bois (P25 4/2) avant de les condamner à mort (P30).
Mais malgré tout son pouvoir et son fanatisme le Gd Lama est impuissant à empêcher l'enlèvement de l'enfant dieu Dalaï Lama, il doit faire appel aux aviateurs américains pour le délivrer. L'attitude du Gd Lama n'est pas exempte de perversité il apparaît souvent plus comme un manipulateur, en effet il est capable de :
– Parler anglais (P32 2/2)
– Lire une carte (P36 1/3)
– Connait la technologie occidentale, il sait qu'un avion est une création humaine et non une créature céleste (P34).
– Il connait (au moins partiellement) la situation internationale.
id. P34 4/1,2 :
Tumbler : « Mais.. que faisait ici ce zinc russe ?
Le Gd Lama : Je sais !... Il ravitaillait les troupes chinoises en guerre...Beaucoup d'autres machines venues du nord survolaient alors notre pays. »
Il s'agit sans doute d'une allusion à guerre civile chinoise entre les nationalistes de Tchang Kai Tchek et les communistes de Mao Tsé Toung qui s'est achevé en 1949.
On peut soupçonner que son hostilité vis à vis de la technique occidentale provient plus de la crainte qu'il a de voir son pouvoir absolu sur son peuple remis en question si ceux-ci s'ouvrait à la connaissance, que comme un réel sacrilège, comme il l'expose aux héros devant un avion russe abandonné.
id. P 34 2/1,2,3 :
Le Gd Lama : « C'est toute une histoire... Les montagnards de la région l'ont [l'avion] découvert un jour, tel quel, abandonné sur la glace du lac. Il n'y avait personne à l'intérieur. Jamais ils n'avaient rien vu de pareil. // Très superstitieux et un peu simples, ils se sont imaginés que c'était un oiseau divin descendu du ciel et qui avait amené sur terre un génie ou un personnage surnaturel ! // A ce messager céleste, ils ont élevé ce temple où ils lui rendent hommage... Mais j'ai découvert la véritable explication du mystère, il y a deux ans, quand un glacier proche d'ici a restitué cinq cadavres gelés... »
Pour effrayant qu'il est été le passage dans la lamasserie n'aura été qu'un épisode précédent l'affrontement des héros avec leurs véritables adversaires. La supériorité occidentale est établie sur la tradition thibétaine qui prend de plus en plus l'allure d'une sinistre mascarade.
Vision de la guerre froide :
Omniprésente dans la saga depuis l'épisode « Ciel de Corée », la guerre froide apparaît sous le jour de la course au progrès technologique et la guerre secrète de l'espionnage.
Le choix du thème de l'aventure ne doit rien au hasard :
– La quête du savant Von Brantz fait référence à à la récupération du savant allemand Von Braun par les américains en 1945 lors de l'effondrement du III° Reich.
– Le lancement des premiers Spoutnik fait de la conquête spatiale un nouvel enjeu de l'affrontement Est/Ouest qui oscille entre détente et crispation. La course à l'espace correspond à la fois
– A un enjeu militaire (les mises en orbites de satellites sont un moyen de mettre en œuvre des missiles intercontinentaux).
– A un enjeu de prestige (A la même époque l'hebdomadaire pour la jeunesse « Vaillant » d'obédience communistes consacre plusieurs pages documentaires à la conquête lunaire).
A l'opposée des américains qui ont basé leur puissance sur l'aviation de bombardement (Porte avion et Stratégic Air Command) l'URSS possède à la fin des années 50 une avance dans le domaine des missiles.
« Top secret » P22 1/1 :
Envoyé du Pentagone : « Croyez que je n'exagère pas... ce grand savant nous permettrait de prendre irrésistiblement la tête, dans la course engagée aujourd'hui pour la conquête du ciel et des espaces interplanétaires... »
Le choix du lieu de l'aventure ne doit lui aussi rien au hasard en 1958, le Tibet se trouve l'enjeu d'un conflit sino indien . Le Tibet est en 1959 sur le devant de la scène, suite au sanglantes répression d'une émeute populaire à Lhassa par l'armée chinoise et à l'exil du Dalaï Lama à Daharamsala.
Quelques mois plus tard Hergé envoie Tintin au Tibet dans une optique radicalement différente.
La différence de traitement autours d'un thème similaire semble faire de l'année 1959 un point de transition du discours diffusé :
– Replis autours des valeurs privées
– Recul de l'ethnocentrisme occidental
– Déclin de la toute-puissance héroïque
L'exploration aérienne de l'Himalaya par les aviateurs n'est pas non plus sans résonances avec le scandale des avions d'espionnage U2 abattu par l'URSS qui provoque l'ajournement de la conférence de Paris en 1958.
Les adversaires des héros bien que non spécifiquement désigné s'assimile aux Russes de manière assez transparente.
– Leur chef le colonel Stölz évoque autant un russe qu'un allemand.
– Les mitraillettes avec un chargeur camembert sont de facture soviétiques (P 26 4/1).
– La forme du jet inconnu qui tente d'abattre Sonny évoque celle d'un Mig 21 (« Top secret » P 33 4/1).
Dans un souci de vraisemblance les auteurs veillent à être cohérent en faisant agir leurs héros sous la couverture de nationalité australienne à une époque où l'Inde dirigé par Nehru et leader du mouvement des non-alignés apparaît comme proche de l'URSS.
L'épisode témoigne de la volonté des auteurs de coller à l'actualité sans que celle-ci soit nommément cité, leur but n'est pas de fournir à leur lecteur une représentation de la réalité, mais d'adosser leur récit à un corpus de références lié à l'actualité propre à crédibilisé une vision du monde.
On constate une conjonction sémiologique entre la diffusion implicite d'une conception du sacré et une description apparemment objective du monde. Le sacrée n'est pas révélé il avance masquer derrière une représentation réaliste du monde. Représentation du monde apparemment objective mais qui illustre en réalité une vision manichéenne issue de la guerre froide. Et tend à générer chez le lecteur un climat anxiogène. La mise à distance n'est pas de mise au contraire le lecteur est plongé au cœur de l'action comme pour mieux adhérer au message diffusé.
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Créée
le 23 mars 2019
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