Locution latine ( Sauve-toi toi-même de l'enfer)
Tout débute dans une Angleterre inventée par son auteur, ou trône en maitre sur la Tamise et dans les terres aux alentours une contre-façon d'état démocratique. Cette imposture totalitaire établi sur la tromperie ne va pas hésiter à limiter les libertés de ses habitants, les abâtardissant avec la terreur d'un anéantissement identique à toutes les sociétés se trouvant sur d'autre terres que celles des tyrans. Et pourtant cette destruction punitive est à relativiser car cet sanction n'aboutit qu'à la taxidermie d'un peuple sans doutes tamisé par l'ersatz de justice et tancé par cette prétendue sureté contrôlée. C'est dans cette insoutenable situation qu'une terrible tactique tentant à unir théologie dirigiste et justice que cette triste et trouble fête funeste qu'on a débuté à faire taire les révoltés du système en les transformant en taulard discrédités et vacant à la torture pour leur perspective dérangeante à une stabilité soutenue intégralement par la lâcheté de tous.
C'est pourtant ténébreusement qu'un de ces taulards persécutés trouva un échappatoire, pour réapparaître moultes aventures plus tard sous les attraits dramaturges d'un portrait théâtral sans autres occupations que d'abattre sans vanité mais avec vaillance cette traitrise antipathique de cette justice putride et toxique. Mais l'être n'est pas véritablement intéressant, contrairement à l'idée transmise qu'il récite en sans trop de subtilité mais mettent l'accent sur une écriture sophistiquée, rectifiant sans mal la perspective cassante du révolté rustre et inculte. Face à cette imposture tabifique il se pose en mythe, il triture les représentations de l'ordre, discrédite ses détracteurs, rend sa beauté à l'âme contestataire et revitalise cette société taciturne. Il fera traverser aux institutions une période trouble, identique au tartar dans lequel ils ont installé la nation. Il en résultera les fruits d'une attaque historique contre la tyrannie et pour la liberté, l'ouverture d'une Vendetta
Un seul verdict: la vengeance. une vendetta telle une offrande votive
mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire
valoir le vigilant et le vertueux
La vérité à ce tapage hautainement poétique allant du soutenu à l'insoutenable résulte dans le témoignage de mon affection toute particulière pour le travail linguistique et adéquat des traducteurs tiraillés par cette étourderie délétère du spectateur qui oublie par ingratitude l'acte cinématographique de la mythique rencontre entre le libérateur et la demoiselle en détresse. Et dont on devrait avoir honte car cette haute maitrise peut se garantir d'être gratifiée de texte tonitruant, cultissime, voir d'atteindre une perfection sans afféteries
Vi Veri Veniversum Vivus Vici.
Par le pouvoir de la vérité, j'ai de mon vivant, conquis l'univers.