Une sortie assez proche du Last knight on earth de Snyder, avec des traits communs notables - mais pour une lettre d'intention radicalement différente. En premier lieu car Daniel Warren Johnson a compris l'essence du personnage de Wowo : l'amour, l'espoir, le pardon. Phare dans la nuit d'un monde post-apocalyptique, la guerrière amazone, affaiblie, désorientée, amnésique, n'en oublie pas ses valeurs, quand bien même la violence et la cruauté de l'histoire ne la ménage pas.
Un style graphique pas spécialement de mon goût mais adapté à son sujet, des dialogues forts, une galerie de personnages 100% inédits - c'est si rare pour ce genre d'elseworld ! Vraiment un Wonder Woman The End à lire avec plaisir.