Rose d'adieu.
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
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le 24 mai 2014
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Allez tiens, une p'tite critique manga, ça fait un bail que j'en ai plus fait. Attardons nous un peu sur le 16e tome de cette série faisant partie de mes préférées. Ce volume est l'occasion de retrouver Sagiri Ameno au premier plan. Il faut dire qu'on l'avait bien perdu de vue depuis facilement 3 tomes: entre la déclaration d'amour sincère d'Hibari, l'apparition d'Ôga qui fût le maitre de Kugarashi et enfin toutes les révélations en masse (et attendues) sur Yuna dans le 15e tome (et l'un des meilleurs), il faut reconnaitre que la pauvre ninja chûma, étant l'un des seconds rôles les plus importants, n'a guère pu briller au milieu de tout ce maelstrom frénétique. C'est désormais chose faite où la moitié de ce volume y est entièrement consacré. Commençons par la révélation qui tue: elle a désormais un petit ami (et pourtant, quand on connait son caractère...) et elle se sent prête à l'épouser. L'heureux élu est un Yoinosaka, faisant partie de la famille de Nonko. Ca suinte le mariage d'intérêt tout ça. La belle et caractérielle ninja n'est pas au bout de ses surprises mais va surmonter les obstacles plus en forme(s) que jamais. Elle va à la fois être confrontée au défi le plus important de sa vie et découvrir ses vrais sentiments envers un certain... Kugarashi, ben voyons quelle surprise! Il y a à la page 102 un gros plan magnifique de la belle, assumant enfin ses choix de jeune femme... du moins à sa façon.
Après une première moitié aussi dense (et magnifique) que le précédent tome, la seconde partie retombe dans le classique avec tranches de vie rythmées d'incidents scabreux et juteux. L'imagination coquine et fertile de Tadahiro Miura ne semble toujours pas s'éteindre après 16 tomes.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 27 nov. 2020
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