Ce film met en lumière un sujet tabou : le sida. On ne sait pas vraiment ce que c’est, on arrive toujours pas à le soigner et aujourd’hui encore, les lycéens ne sont pas sensibilisés à cette maladie. Ce qui est super cool dans ce film, c’est le mélange de fiction et de documentaire : l’histoire est écrite et semi-inventée, l’association a existé et des actions ce sont vraiment passées en 1991 et 1992. Ça prouve la sincérité qu’a voulu mettre le scénariste/réalisateur dans son film. Grâce à cette volonté de dénoncer, de montrer et aux jeux des acteurs, le film est réellement touchant. Il nous pleurer par les horreurs que doivent traverser les personnes malades et en même temps il nous fait rêver d’amour. Ce film est pleins d’émotions qui mérite bien ses titres au Festival de Cannes, aux Césars, aux Prix Lumière, etc… J’ai beaucoup aimé la performance de Nahuel Perez Biscayart que j’avais vu pour la première fois dans Au revoir là-haut de Dupontel.