Pas de bras, pas de chocolat.
QU'ELLE CLAQUE!
Ouais, je pense que c'est le mot, j'avais pourtant du mal à m'imaginer comment on pouvait faire tenir une intrigue sur un type qui se fait broyer le bras par un gros cailloux et qui doit s'amputer l'avant-bras à l'aide d'un canif.
Non, 127H, loin d'être un chef-d'œuvre est certainement le film le plus réaliste, quant au rendu des émotions du personnage principal Aron Ralston, ça relève du génie, entre délire psychotique et détresse, ça vous fou le stress et l'angoisse, j'ai eu l'impression de boire la pisse à sa place...
Bref, Danny Boyle, ô grand maitre tu m'a subjugué par ton talent!
Il faut dire que James Franco était parfait pour ce rôle!
Je pense qu'Aron Ralston lui-même n'aurait pas pu mieux décrire ce qu'il a vécu au travers d'un film que Danny Boyle l'a fait...
Les sensations procurées durant le film sont pour ma part indescriptibles tellement ça paraît insensé,
faut autant de mental pour se couper le bras que pour regarder ce film, claustrophobes, Achmophobes et hématophobes s'abstenir!
Donc 10/10 non pas pour le film en lui-même mais plutôt pour la qualité de la réalisation et surtout du réalisme...
MUST SEE !