Après 2012 de Emmerich pourquoi ne pas continuer l'ascension des bouses ? suffit de demander, en voici un autre. 2012 : Doomsday nous plonge dans le répétitif du navrant, il nous guide de droite à gauche dans des endroits du Mexique avec notamment une découverte d'une croix, c'est reparti Jesus is back, récurrent au possible. Des personnages par-ci par là dont en à rien à secouer, et nous sommes impatient qu'un tremblement de terre se pointe pour y mettre un peu d'ambiance à tout ça. Le tout de l'action n'arrive que vers la fin et pour pas plus de cinq secondes. Tout se termine bien avec une histoire abracadabrante d'une femme qui accouche.