Une soirée Arte & réflexion d'la vie

Débarquer dans un "28 minutes" parlant de la loi de 1905 sur la séparation des religions et l'état, et s'en suivre par "L'Avenir de Mia Hansen-Løve" dons "Ce sentiment de l'été de Mikhaël Hers"

Il m'est bizarre de voir ce genre de films, tout ce genre de "drame" comme si il fallait nous rappeler des notions philosophique sur ce que peut être la vie, semble tellement éloigner de la réalité dans lequel nous vivons.. le stress est inexistant, tant il sembler proche d'un passé idyllique, tranche de vie d'un temps semblant si réel dans leur forme pure & sans tracas financier, on oublierai presque la pauvre-ter et le chagrin du monde, tous semble être des morceaux de matière moue, agglutiner fasciner par de vraie passage ayant exister, le passé ne fait qu’écho as des affirmations pour un un rien de présent.

Et puis vain ce film, la dernière création d'un mort d'il y as 2 ans, par les plus vieux moyen représentant le cinéma, des tableaux, plan fixe très peu animés pour une longue séance de contemplation, batifolage de la flore et du lore, dans un réalisme mesurer, musique adoucie pour ce début d'hivers, c'est vraiment ennuyant mais bon ça passe très bien avec l’insomnie.

Ce fus une soirée Arte, des tranches de vivants emporté par le drame, qu'importe la mort, l'immuable instant passe sans escale, la vie ce succéder, le passé cicatrise, bref apathique ou osef tant de banalités pour répéter que les décès dans les TEMPS de PAIX sont doux à traverser, le genre de programme en total décalage des nouveaux réseaux sociaux rendant accro a la dopamine, j'ai l'impression de revoir des passages de Winter Sleep, les longs plan d'ataraxie.. et les rares morceaux donne l'envie de dormir, ""24 Frames"" noooooon, 24 flegmatiques, j'ai l'impression qu'il as confectionner ce film pour un adieu ou son enterrement, fin c'est réussi, bonne nuit.

Ps à moi même : essayer dégoter les versions de chaque morceaux pour les prochaines insomnies .