28 semaines plus tard s'ouvre sur une superbe séquence qui nous permet d'entrer immédiatement dans le vif du sujet. Par la suite, on découvrira qu'il s'agit d'une suite intelligente qui propose un angle totalement différent. On peut alors observer les retentissements à l'échelle mondiale, ce qui donne une autre ampleur au phénomène (même si j'ai une affection particulière pour l'approche intime du premier volet).
Pour notre plus grand plaisir, plusieurs autres effets prennent le spectateur par surprise :
la lâcheté du "héros" incarné par Robert Carlyle, cette tête d'affiche qui meurt très tôt...
En revanche, quelques choix de scénarios discutables sont à regretter, ainsi que la volonté manifeste de présenter un maximum de scènes marquantes avec l'appui du thème musical. Il ne faut pas abuser des bonnes choses.