48 Heures chrono par cityhunternicky
48 heures chrono nous raconte la recherche d’un flic pour retrouver sa fille enlevée.
Poussons d’ailleurs un coup de gueule sur la traduction du titre : the factory, qui fait référence au fait que les filles soient enlevées pour procréer, est donc en lien avec le film, contrairement à son homologue français. Bon de toute façon l’histoire est tellement classique que ça ne vous aurait pas empêché de vous ennuyer pendant la très grande majorité du scénario. Alternant longueurs et scènes inutiles, une grande majorité du film sera donc à supprimer, surtout pour une durée de 1h44…
On ne s’étonne donc pas si il a mis 2 ans pour arriver jusqu’à nous. Il faudra vraiment avoir foi en Jennifer Carpenter pour voir un film assez insipide. Encore un rôle de femme policière malheureusement, même si je ne trouve pas son jeu d’acteur, et même le jeu d’acteur des autres têtes d’affiches, très crédible. L’ambiance des décors et du côté glauque m’a tout de même fait son petit effet malgré son manque d’imagination et quelques incohérences.
Si ce n’est les quelques retournements de situations surprenants et bienvenus, le reste du film est trop vide pour rester dans les mémoires. Pas de plans extraordinaire et beaucoup d’ombres pour une image peu reluisante au final. Pas trop étonnant venant de Morgan O’Neill qui n’a réalisé que crocodile dundee III comme film de référence, et il n’y avait déjà là pas grand chose…
48 heures chrono reste ultra classique dans son histoire, ses acteurs et son scénario, mais le côté glauque est bon