Une femelle teckel met bas trois boules de poils, Mark se laisse convaincre d’accueillir un danois.
Le métrage applique scrupuleusement la méthode Disney pour un résultat enjoué qui n’a d’autre ambition que de divertir. Ces boudins machiavéliques mèneront la vie dure au molosse naïf qui en secouera un dans une scène fort touchante. Il faudrait encenser, une fois de plus, le travail exceptionnel des dresseurs. Il est formellement cocasse de visionner ce mâle se comporter comme un teckel, par exemple en déambulant les pattes pliées. Néanmoins, le film est excessivement simplet, mais bon, cela demeure guilleret et il est quelque peu suranné avec des propos tels « Désormais, je travaille. Tu fais le ménage ».