Encore un autre film Netflix du moment dont on chante les louanges en ce moment sur les réseaux avec soi disant la garantie à coup sûr de lâcher sa petite larme. Cependant vous voyez, moi ma rétine c'est le désert de Gobi, pas une seul larme depuis 2001, et encore c'était devant fast and furious quand la toyota supra est repeinte en vert pomme et ça franchement, ça craint. Alors je relève le défi c'est parti pour 2h sans pleurer devant 7 gufrqbreouhtgwq (oui je tape au hasard sur le clavier pour le titre).
Alors oui le film est prenant, très prenant, et il est difficle de ne pas être happé par le lien qui unis ce père accusé à tort et sa merveilleuse petite fille. C'est enfaite une grande innocence qui caractérise les deux personnages, une naiveté touchante qui se traduit par une volonté de faire le bien et de le faire en restant simple. Les liens entre les personnages sont de manière générales à grande dominance emmotionnelle et le film en joue et en joue bien dans la plupart du temps. Néammoins le film à la tendance facile à la surenchère dans certains moment pour faire tout son possible pour faire pleurer le spectateur (ce qui n'est pas forcément tout le temps nécessaire). D'un point de vue techniques, le film propose également de jolis plan et l'on prends plaisir à décoivrir certain paysages turcs bien loin de ceux de Midnight express. Enfaite l'on peut d'ailleurs résumer ce film en disant que celui-ci est un mélange de différents long métrages ayant faits leurs preuves tels que la ligne verte, au nom du père, les évadés et d'autres, et que ce mélange ne reprenant que les rouages et thèmes bien traités par ces prédécésseurs donne au final un film de grande qualité quelque fois un peu trop larmoyant mais qui reste tout de même diablement prenant.