"Directors who don't do shit on their shoot"
Martin McDonagh est comme nous: il a besoin d'argent, il a besoin de payer ses impots et finir l'hypotheque de sa grande villa à LA.
Mais Martin n'a aucune foutue inspiration, aucune idée de film en tête.
Donc du coup, il va écrire un film sur lui, joué par Colin Farell, qui n'a aucune foutue inspiration pour écrire.
Il ajoute à ca ses dilemnes personnels: pourquoi devrais je écrire une film violent alors que j'aimerai écrire une histoire de paix.
Message final du film: on peut conter la paix par la violence.
Martin avoue publiquement qu'il a 10 ans d'age mental.
Le reste n'est que gachis: Sam Rockwell obligé de rejouer ce qu'on lui demandait de faire y'a 10 ans et Christopher Walken qui ne sait pas ce qu'il fait sur ce plateau.
Eux seuls constituent les deux seconds roles veritablement existant du film, et ils brassent de l'air, à se balader champetrement dans un désert, transformant un bon tiers de 7 Psychopathes en un gigantesque clip de Jamiroquai.
Ca aurait pu être absurde et drole, c'est juste absurde.
Quand aux autres tiers du film, on a droit respectivement à une version Leader Price de Tarantino, la scène ou Woody Harrelson menace la femme de Walken en tête; et l'autre à du sous "Le Magnifique".
A la fin Martin a fini son film, le dernier plan le dépeint partant le remettre à ses producteurs.
Il a obtenu son chèque, il est heureux.
Il peut garder sa villa a LA.
Merci spectateur d'avoir contribué à cela.