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Ennui ferme
Désolé, Albert, mais quand tu fais des films, on a tendance à être impitoyable avec toi ; pour une raison très simple, c’est que tu as du talent et des idées. Un pitch comme le tien, une bande...
le 23 oct. 2013
51 j'aime
14
Rire à en avoir mal aux joues
J’ai ri. J’ai tellement ri. Impossible d’arrêter ces larmes qui dégoulinaient le long de mes joues et en mouillées le col de mon pull. Les fous rires prennent chacun des spectateurs se trouvant dans la salle, impossible de rester insensible à l’originalité de ce long métrage.
Les scènes sont plus inattendues les unes que les autres, on attend avec impatience la suite de l’histoire car l’on sait que l’on sera agréablement mené par le réalisateur.
Les personnages délirants envahissent l’histoire pour l’accompagner dans une folie dont on ne serait se lasser.
C’est là toute l’intelligence d’Albert Dupontel. Paraître fou afin de dissimuler le génie.
Tout est choisi avec malice et précision. L’actrice principale Sandrine Kiberlain qui guide avec brio cette comédie désopilante, soutenu par le personnage complètement dingue de Dupontel lui-même, jouant ici un cambrioleur globophage.
Le rythme effréné ne laisse pas une seule seconde nos muscles zygomatiques tranquilles.
On sort de cette projection heureux, et surtout soulagé de voir qu’il y a encore des gens assez désaxés et intelligents pour monter des comédies aussi riches et décalées.
Les scènes sont plus inattendues les unes que les autres, on attend avec impatience la suite de l’histoire car l’on sait que l’on sera agréablement mené par le réalisateur.
Les personnages délirants envahissent l’histoire pour l’accompagner dans une folie dont on ne serait se lasser.
C’est là toute l’intelligence d’Albert Dupontel. Paraître fou afin de dissimuler le génie.
Tout est choisi avec malice et précision. L’actrice principale Sandrine Kiberlain qui guide avec brio cette comédie désopilante, soutenu par le personnage complètement dingue de Dupontel lui-même, jouant ici un cambrioleur globophage.
Le rythme effréné ne laisse pas une seule seconde nos muscles zygomatiques tranquilles.
On sort de cette projection heureux, et surtout soulagé de voir qu’il y a encore des gens assez désaxés et intelligents pour monter des comédies aussi riches et décalées.
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le 22 nov. 2013
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