(Micro Critique Flash)
Cody de notre belle famille qui, après 6 mois de full contact, reprend le flambeau laissé vacant par JCVD.
Les coups de pieds sont hachés via un montage de 3 plans de caméra pour masquer, sans succès, que le bonhomme est raide comme un piquet.
Ajouté à ça un jeu d'acteur inexpressif (Quoi? Tu as tué mon élève? Je lève un sourcil de désapprobation pour la peine, tiens!), un scénario improbable (tous ceux qui n'ont pas voulu apparaître dans cette suite sont morts) et une bonne dose de clichés bien gras (on passe de l'entraîneur vivant dans un taudis qui donne des cours aux gosses défavorisés gratuitement à l'organisateur de combat véreux qui tuerait père et mère pour de l'argent, en passant évidemment par l'incendie qui tuera un orphelin ["bonne nuit, mon p'tit dur!" WTF?! Pedobear Spotted] et le poulain ingrat chargé aux stéroïdes qui sera massacré sur le ring), bref, cela correspond à mes souvenirs: un film assez savoureux de par sa nullité, comme les autres suites (sauf le 5 que je n'ai pas encore vu, c'est pour ça que je me retape les 3 autres avant de le zieuter d'ailleurs, Mark Dacascos qui est un bon artiste martial devrait un peu relever le niveau)