Lorsque je suis allé voir Un amour d'hiver, je m'attendais à une romance matinée de fantastique. Autant dire que j'ai été très surpris, puis complètement halluciné, lorsque j'ai découvert le fond hyper catho du film : ça parle de miracles et d'anges gardiens à tout va, d'âmes défuntes qui s'envolent vers les étoiles, de guerre entre le Paradis et l'Enfer, Will Smith interprète Satan lui-même, et le tout avec un premier degré absolu ! C'est bien simple, j'ai eu l'impression de me farcir un épisode des Routes du Paradis !
Pourtant, malgré la voix dans ma tête qui a hurlé tout au long de la séance "Mais qu'est-ce que je suis en train de regarder ?!", je ne peux honnêtement pas jeter bébé avec l'eau du bain. C'est on ne peut plus guimauve et souvent kitsch visuellement (il faut voir Colin Farrell grimper au ciel sur un cheval ailé !! lol), mais la beauté de Jessica Brown Findlay, son personnage de vierge mourante et l'alchimie qui passe avec son partenaire rendent l'histoire d'amour attachante et j'ai fini par être touché par cette histoire... à mon corps défendant, j'insiste ! :p
Créée
le 20 juin 2016
Critique lue 202 fois
D'autres avis sur Un amour d'hiver
Dieu tout puissant nous envoie des épreuves pour nous tester, pour tester notre amour en lui et ce film est l'épreuve qu'il m'a envoyé. J'ai essayé de lutter, mais je suis si faible face à ce film...
Par
le 12 mars 2014
11 j'aime
Malgré un flop retentissant aux États-Unis, le premier long-métrage d'Akiva Goldsman (scénariste de "Da Vinci Code" et "Je suis une légende") s'impose comme l'un des films les plus originaux de cette...
Par
le 11 mars 2014
8 j'aime
3
(et non, le titre ne fait pas référence à la coiffure particulière de Colin Farrell dans le film) Passé assez inaperçu dans nos salles lors de sa sortie, Un Amour d'Hiver est l'adaptation d'un roman...
Par
le 5 juil. 2015
7 j'aime
Du même critique
La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
Par
le 27 juin 2017
53 j'aime
4
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
Par
le 27 mars 2018
48 j'aime
19
Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...
Par
le 24 nov. 2016
43 j'aime
