Je ne l'aurais jamais cru!!! Des daubes, j'en ai vue mais là je me demande au niveau cinématographique, si je n'ai pas trouvé la perle rare? Vous savez? Celle qu'on cherche tous, que l'on va détester dans toute sa splendeur de notre cinéphilie personnelle.
En le visionnant, j'ai l'impression que le scénario doit tenir sur une feuille A4. A voir les acteurs au fur et à mesure que le film avance et qu'ils s'imbibent deviennent saoulant.
A force de chercher désespérément le sens de l'histoire sur un sujet aussi sérieux que dramatique comme l'alcoolisme, on ne trouve rien. Je ne suis pas sur personnellement que même quelqu'un malade de l'alcool se retrouve beaucoup ou arriverait à s'y retrouver et s'identifier dans ce four.
On atteint déjà le fond de la bouteille dans un scénario et une mise en scène frôlant le néant et incapable de nous faire ressentir de l'attachement ou de l'empathie pour ses personnages.
On pourrait s'attendre que les acteurs sauve le film, hélas ça commence mal!!!! Très mal!!! Edouard Baer, donc je n'apprécie pas du tout son jeu, un acteur bis surestimé et entretenue, voir chouchouté par les médias que je range dans une bibliothèque avec les Kev Adams, Frank Dubosc, Omar Sy....et compagnie. Parce qu'enfin de compte c'est l'ennuie qui occupe la première place, du début à la fin.
Une comédie de Sitcom à la plus belle la vie. Film bourgeois matérialiste d'un autre monde évoluant sur une autre échelle sociale qui s'auto détruis, sans histoire empêtrer dans une avalanche de stéréotypes.
Un film foireux du début jusqu’à la fin. Un vraie gâchis, d'autant que j'ai vue que le film aurait coûté 4,400,000 euros. Ce sont les 7 producteurs que je plains qui doivent pourrirent dans leurs entrailles d'avoir financer ce four. Jean Eustache retournerait dans sa tombe!
Un long-métrage qui en dit beaucoup sur l'ambition artistique de la réalisatrice.