Que filme « à bout de souffle ». Que filme-t-il, la joie ou la tristesse ?
Aucun de deux : à bout de souffle filme L’amour. Ce film condense l’amour dans une pellicule, et ce n’est pas tâche aisée, la preuve, tel accomplissement n’est arrivé qu’une seule dans l’histoire du cinéma ! (enfin peut-être un peu plus). On nous présente donc le personnage de Belmondo, amateur de la France (comme moi) et viril séducteur (pas comme moi) et qui vas pendant une heure et demie vivre un experience des plus hasardeuses et que peu de personnes ont réellement connus : l’amour. Ah Belmondo ! Comme j’envie sa prestance, son charisme, moi qui peine à me regarder dans un miroir ! En ma qualité de pauvre célestin, je ne connaîtrais jamais la sensation que c’est que d’écouter le concerto pour clarinette en la majeur de Mozart accompagné d’une femme aussi attirante que Jean Seberg (même accompagné d’une femme tout court)!
Aucun film n’a réussit avec autant de brio à me faire crier pendant la séance
« Mais baise là !» ( c’était déjà arrivé mais pas aussi fort)
Putain Jean Luc, pendant un instant t’a réussit à me faire mettre à la place d’un giga chad ! J’avais l’impression d’être dans un jeu rpg, j’avais l’impression de me voir troller les prostitués sur la plage de Los Santos !