Adaline naît à San Francisco en 1908. Alors qu'elle est âgée de 29 ans, elle est victime d'un très grave accident de la route. Un accident qui aurait dû lui coûter la vie mais qui, au contraire, a été responsable d'une certaine immortalité : depuis cet événement, Adaline a cesser de vieillir.
Alors que ses proches, familles et amis prennent de l'âge, Adaline reste elle-même. Au début, cela ravit la jeune femme (qui n'est plus si jeune). Mais rapidement, elle s'aperçoit que cet état de fait va lui jouer des tours si elle n'y prend pas garde : car si son visage reste celui d'une jeune femme, sa carte d'identité, elle, révèle à la première consultation un décalage qui se creuse d'année en année.
Tout au long du XXe siècle et au début du XXIe, Adaline traverse les années et les événements sans prendre une ride. Et en restant désespérément seule. Car comment s'attacher à quelqu'un et ne pas parvenir à vieillir à ses côtés ? Ce don inouï se révèle être un fardeau isolant Adaline du reste du monde.
Jusqu'à ce qu'elle rencontre Ellis...
Un film qui possédait un fort potentiel mais qui, à cause de choix malheureux, reste entre deux eaux. Pas catastrophique, loin de là, mais jamais prenant. Cette voix off, tout d'abord, qui persiste à nous prendre pour des imbéciles en nous expliquant ce qui se passe sous nos yeux... Et ce discours pseudo-scientifique qui cherche à expliquer l'arrêt du vieillissement et qui est plus ridicule qu'utile. Dommage !
Reste que Blake Lively est bien jolie à regarder (même si je lui conseillerais de surveiller son poids sous peine de devenir franchement anorexique) et que la romance a assez bien fonctionné sur mon petit coeur d’artichaut.