Mirella enseigne les maths à Rome. Suite à quelques divergences, elle se retrouve mutée à Pérouse où elle fait la connaissance d’Alain, un jeune éphèbe aux cheveux bouclés. Mirella semble attirée par ce jeune garçon inaccessible et ne tarde pas à organiser une soirée chez elle avec l’ensemble sa classe. Ils passent le plus claire de la soirée à fumer et à écouter de la musique jusqu’à ce que la copine d’Alain s’adonne à quelques caresses coquines aux yeux de tous. Mirella les surprend et depuis, ne cesse d’être obnubilé par ce jeune garçon, réveillant en elle des pulsions sexuelles incontrôlables.
Réalisé par José Bénazéraf, si son nom ne vous dit rien, il est un spécialiste des films érotico-porno des années 70 & 80 à qui l’on doit des titres plus ou moins évocateurs, tels que
Je te suce, tu me suces, il nous... (1979), Amours d'adolescentes pubères (1980), Chattes chaudes sur queues brûlantes (1983), L'antiquaire a la chatte trempée (1984)
et parfois drôle tant ils s’avèrent grotesques, comme
Eva la grande suceuse (1983) ou encore Du foutre plein le cul (1984).
Adolescence pervertie (1974) est un film érotique, avec des scènes relativement chastes en termes de nudité et de sexualité (une branlette demie-molle et une fellation vaguement dévoilée). Un scénario alternant entre érotisme et politique / militantisme de gauche complètement absurde. Le montage a été torché à la truelle et l’ensemble s’avère rapidement pompeux. Un film à réserver aux amateurs de porno softcore lénifiant.
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