Détestable
Comme trop souvent avec les comédies francophones, c’est plus un téléfilm qu’un long-métrage pour le cinéma dont il est question. Elsa Zylberstein, Lucien Jean-Baptiste et la prometteuse Ioni Matos...
Par
le 21 août 2020
3 j'aime
Comme trop souvent avec les comédies francophones, c’est plus un téléfilm qu’un long-métrage pour le cinéma dont il est question. Elsa Zylberstein, Lucien Jean-Baptiste et la prometteuse Ioni Matos font ce qu’ils peuvent pour incarner des personnages qui ne dépassent pas leur statut d’archétypes grossiers. Avec son scénario archi-prévisible, ses situations grotesques, caricaturales et invraisemblables, sa mise-en-scène enchainant paresseusement les champs-contrechamps, Adorables se contente de combler le vide d’un mardi soir télévisuel plutôt que de creuser ne serait-ce qu’un chouïa le thème des difficultés du passage à l’âge adulte. Dans le genre, on se rabattra plutôt sur LOL, La Boum ou encore Les Beaux Gosses.
Créée
le 21 août 2020
Critique lue 487 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Adorables
Comme trop souvent avec les comédies francophones, c’est plus un téléfilm qu’un long-métrage pour le cinéma dont il est question. Elsa Zylberstein, Lucien Jean-Baptiste et la prometteuse Ioni Matos...
Par
le 21 août 2020
3 j'aime
C'est simple, ça se laisse regarder mais décidément qu'essaye de nous raconter les comédies françaises de relation mère-fille si ce n'est énormément de scènes déjà-vues et de coups bas à répétition...
Par
le 24 nov. 2020
2 j'aime
Adorables est l’illustration parfaite – une de plus – de la petite comédie française aux petites ambitions qui met en scène des petites tranches de vie, cachée derrière le moindre comme derrière un...
le 23 nov. 2020
2 j'aime
Du même critique
Malgré un postulat malin et bien-vu, cette farce s’avère être finalement assommante et répétitive. Un casting prestigieux et beaucoup d’agitation pour pas grand-chose. Cela fait une vingtaine...
Par
le 10 déc. 2021
74 j'aime
3
Cette romance impose à son public le même phénomène que vit son héroïne : la dissociation cognitive. Des clichés à la pelle, un cinéma très illustratif, un scénario digne d’un roman de gare… pour...
Par
le 14 août 2024
15 j'aime
L’émancipation du patriarcat est au cœur de Love Lies Bleeding (de Rose Glass, USA, Royaume-Uni), célébrant le retour aux affaire de Rose Glass. La réalisatrice avait déjà fait forte impression avec...
Par
le 7 mars 2024
14 j'aime