Les Relations Psychédéliques dans l'Univers du Cinéma.

Écrit, acteur et réalisé par Baer en numérique sphérique avec un budget minuscule, c'est un échec dédié vidéo. Akoibon commence par un lieu de fête en vogue qui engage une histoire confuse avec les personnages dans une arnaque. Les éléments se relient à l'intrigue pour aller vers l'endroit à la mode, en groupant les personnages qui débarquent sur l'île. Les détails se dévoilent avec une étrange relation à l'ambiance platonique, qui développe les rôles des personnages.

Les enjeux se dessinent dans une romance des différents personnages qui envoient un spectacle en déroulant les affres de l'ambition touristique. Le récit confus fait fuser les dialogues qui comblent le manque d'idées entre la vision fantastique de l’hôtel et l'affaire d'escroquerie. L'action se répète en conservant l'incohérence de l'intrigue dans un rythme lent qui gravite sans réel intérêt entre les personnages.

Les détails prévisibles plongent dans la dérision avec une technique maladroite, qui poursuit la tournure ridicule des événements. La situation s'enfonce dans une mélancolie vaseuse aux effets médiocres en accélérant les issues dans un délire grandiose. La lente tragédie retombe dans la comédie de son sujet en continuant le délire, lors d'un long dénouement sans intérêt, pour cette œuvre spéciale aux nombreux défauts, qui met en avant les acteurs avec une histoire confuse et une mauvaise technique.

Entrées Salles France : env. 80.000.

> https://youtu.be/O492NQLuwko