Hier soir à Nouméa, pour le film du dimanche soir ma fille nous propose de regarder Alad’2 de Lionel Steketee. Nous n’avions pas vraiment aimé Les Nouvelles Aventures d'Aladin comme vous pouvez le lire dans ma critique, mais nous sommes dimanche soir, j’a âs forcément envie de me bagarrer et ma fille à cet argument imparable :
« Bientôt, il ne sera plus sur Netflix et nous ne pourrons plus le voir ! »
« Comment résister à un tel argument et comment résister à ma fille surtout, la prunelle de mes yeux… »
C’est parti pour les comiques
Bon j’ai préféré ce second opus. Il n’est pas beaucoup plus drôle que le premier, les vannes ne volent pas très haut et je les ai trouvées rare.
Michel Blanc a disparu du projet, exit aussi William Lebghil, c’était pourtant les deux acteurs intéressants du premier, le rôle de Jean-Paul Rouve est réduit à peau de chagrin, à un caméo et d’ailleurs le meilleur moment c’est son apparition lors du générique de fin.
Mais alors pourquoi je l’ai préféré au premier ?
Jamel Debbouze ! Il en fait des caisses, il est pratiquement dans l’autoparodie, mais je l’aime bien lui et son phrasé reconnaissable entre tous. Moi Jamel Debbouze continue de me faire rire.
Mais pas que pour Jamel. La scène ou Kev Adams est transformé en garde, jouée par Booder m’a fait marrer. C’est la seule scène qui m’a vraiment fait rire.
Eric Judor joue le génie d'Aladin, Ramzy Bediah joue aussi un génie. J'attendais avec impatience la confrontation entre les deux génies. Mais ça aussi le film le saborde. Dommage le film rate aussi le retour d'Eric & Ramzy.
Bon, le film se termine sur une bonne note avec une sorte de sketch entre Jamel Debbouze et Jean-Paul Rouve.
Alad’2, je ne le reverrai et espérons qu’ils n’auront pas l’idée de faire Alad’3.