Duo de choc
J'avais entendu parler de cette idée que je trouve brillante ; en effet, je ne comprends pas pourquoi les auteur,s pour les suites, décident de répéter encore et toujours le même schéma, pourquoi ne...
Par
le 7 févr. 2020
Paradoxalement, alors que cette portée de courts est censée relancer la franchise, Alone fonde sa narration sur la thématique principale d’Alien: Covenant: la corrélation entre le cycle existentiel du monstre et de l’androïde. Bien moins ambitieux bien sûr, le résultat s’avère assez honnête dans sa proposition (le fan service n’est pas aussi insupportable que dans Containment).
Malheureusement, le format court force les raccourcis. La structure en montage-séquence, adoptée pour plus de densité, plombe l’ambiance en faisant des deux protagonistes improbables deux potes tous droits issus du buddy movie le plus feignant. La fin en pâtit forcément, et le courage du point de vue (un Alien vu des méchants, inédit au cinéma!) n’arrive pas à sauver un climax plombé par « my little facehugger ». Comme d’hab’, on aurait aimé se rattraper avec une violence à la hauteur de la cruauté de la situation. Il n’en est rien : direction artistique qui claque ou gore frontal, il faut choisir.
Créée
le 25 mai 2019
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