Une bande de jeunes rebelles refusent leur sort et décident de partir vers une planète meilleure. Un début plutôt excitant jusqu’à ce que la mécanique de la citation se mette en place et alors nous assistons à l’exploitation appuyée et sans finesse de tous les rouages et de toutes les ficelles de la saga : l’ambiguïté des robots, le projet supérieur de la compagnie qui trahit, l’équipage qui se désintègre, le compte à rebours, la navette que l’on doit regagner avant implosion. La seule trouvaille étant le jeu gravitationnel mais qui est annoncé dès le début et dont l’usage dans la scène finale est presque attendu. Quant à la fusion homme/alien…on aurait voulu être terrifié, et on est peiné de basculer dans de la série B. Dommage.