Nom de dieu ! Mais quel film ! Le grand, que dis-je l’immense, que dis-je l’éternel Robert Rodriguez accompagné à la production par James Cameron nous pond une œuvre hybride, une bombe ! Le film s’impose comme les films marquants de SF de notre époque que ce soit par les prouesses techniques qu’il propose avec des fonds verts qui d’habitude ont tendance à nous laisser pataud et même parfois à nous sortir du film, là l’histoire est d’une telle beauté portée par un message fort que ça en fait un film sublime ! Les références n’en finissent plus et ne sont pas épuisantes à la longue, elles sont tout bonnement subtilement utilisées et ça peut aller de « rollerball » à « terminator » en passant par « sin city » et la trame de fond qui nous fait voir l’univers comme une relecture futuriste de « 1984 » de George Orwell est d’une attractivité captivante à laquelle nous ne trouvons même pas une seconde de répit, nous entrons dans le film pour ne plus en ressortir même après la séance ! On ne prend rien d’autre qu’une sacré claque en regardant ce film !