L'Espagne est elle-aussi confrontée à des problèmes de terrorisme. Luis Tosar est toujours aussi massif et impeccable dans la peau d'un bon père de famille travailleur pris en otage par des radicalisés.
Si le film réserve quelques moments de suspens, je regrette certains dialogues un peu lourds, trop tire-larmes, un contexte familial dramatique mais qui n'apporte rien au récit à part éventuellement donner un peu d'épaisseur à la vie de ce chauffeur de taxi. Je ne pense pas que c'était nécessaire d'inclure
une fille décédée de maladie.
Malgré tout, on peut se dire que lui sera resté humain de bout en bout. Et, ça, ça n'a rien à voir avec la religion ou un quelconque dieu.